Dans un hôtel – 2 (suite)Après ce qui s’était passé le matin dans la chambre de notre hôtel à Malte, la journée s’était bien passée, partagée entre du tourisme dans la grande rue de La Valette et un tour au bord d’une plage d’où on voyait dans le lointain les grandes grues du port à container. Il fallait que je trouve un bon prétexte pour revoir la femme de chambre le lendemain. Ce fut relativement simple. Dans la soirée, nous fîmes connaissance d’un couple de français et nous nous promîmes de nous retrouver le lendemain matin pour le petit déjeuner. Je savais qu’étant en bonne compagnie ma femme ne s’alarmerait pas de mon absence qui allait risquer d’être assez longue pour remonter dans la chambre.Le lendemain matin, même scènes que la veille : nous croisons la femme de chambre qui s’occupe de notre chambre dans le couloir, grand bonjour, grands sourires échangés. Dans la salle du petit déjeuner, nous retrouvons le couple de la veille qui nous font de grands signes pour nous dire à qu’ils sont là. Nous les rejoignons. On commence le petit déjeuner. Je m’assois à côté de l’épouse et ma femme à côté du mari. Elles est assez mignonne et je remarques surtout ses seins qui sont volumineux bien mis évidence par un magnifique décolleté. Elle me fait un peu de rentre dedans et je sens ses cuisses largement s’écarter pour se coller aux miennes. A un certain moment, je refais le coup de la veille en disant que je dois remonter dans la chambre pour prendre sarıyer escort un médicament que j’ai oublié. Ils n’en sont qu’à leur premier café et je sais que mon épouse en prends au moins trois : j’ai donc un peu de marge.Me voilà donc entrain de remonter dans notre chambre. Je me régale à l’idée de la chatte de notre belle femme de chambre. Je la revois, avec ses poils bien noirs, avec son clito érigé, avec sa mouille abondante et odorante. Je commence à bander. Sans faire de bruit, j’entre dans la chambre et là, surprise : au lieu d’une femme de chambre, il y en a deux ! Elle sont sur notre lit, en tête bêche entrain de faire un 69. Celle d’hier, la maghrébine est dessus entrain de sucer la moule sa collègue , aussi blanche qu’elle, elle est brune. Celle qui est dessous est entrain de planter notre gode, celui du tiroir de la table de nuit, dans le con de la maghrébine en faisant force mouvements tout en lui suçant son gros clito. Le spectacle est saisissant et ma bite fait un bond dans mon pantalon. C’est à peine si elles m’ont entendu entrer car je n’ai fait aucun bruit et elles continuent à jouir. On voit bien qu’elles n’en sont pas à leur coup d’essai et qu’elles ont déjà une certaine pratique de cet art de la baise en commun. Je sors ma bite et commence à me branler devant ce tableau en m’approchant d’elles pour m’enivrer des odeurs de mouille qu’elles dispensent. esenyurt escort En demandant à la collègue de la femme de chambre de se taire, je m’approche de la chatte de la maghrébine et je commence à lui lécher la chatte. Je fais des incursions sur sa rondelle, parfaitement régulière et palpitante. Comme ma bite arrive à la hauteur de la collègue, elle la prend en main et la branle tout en mettant de temps en temps un coup de langue autour de mon gland, rouge et luisant à souhait. Tout d’un coup, la maghrébine se rend compte que quelque chose a changé au niveau de sa chatte et qu’une autre langue que celle de sa collègue est entrain de la lécher. Elle se retourne et me voit, grand sourire et elle me dit : « Enfonce ta bite, j ‘ai envie de jouir maintenant ! ». Je ne me fais pas attendre et me voilà dans son con entrain de bourrer, encore et encore. Sa collègue met sa main sur ma bite redoublant mon plaisir qui est déjà intense. Elle me lèche les couilles et les prends en bouche par moment. La maghrébine a cessé de sucer la chatte de la blanche, chatte que je n’ai même pas pu voir tellement les choses sont allées vite, car elle gémit pendant que je la baise.Le plaisir est trop fort pour moi et aussi pour le con dans lequel je m’agite. Je sens que le plaisir de ma maghrébine ne va pas tarder tellement sa chatte se contracte. Le mien ne tarde pas et je sors rapidement ma bite pour éjaculer sur sa rondelle et avrupa yakası escort les poils de sa chatte. Sa collègue récupère mon sperme en le léchant et elle en profite pour me nettoyer la bite des sécrétions qui s’y trouvent. C’est donc une bite bien propre que j’enfourne dans mon slip que je m’empresse de remonter en même temps que je fais pour mon pantalon.On n’a pas beaucoup de temps pour discuter, craignant que ma femme et que le couple d’ami ne trouvent bizarre mon absence mais la collègue de la maghrébine, elle est anglaise en fait, a juste le temps de me dire, en anglais et avec un sourire coquin, qu’elle est dans la lingerie de l’hôtel, au sous-sol, jusqu’à dix sept heures. Je comprends que c’est une invitation que je vais essayer d’honorer. Retour dans la salle du petit-déjeuner. C’est limite question temps du café, tout le monde en est au troisième et seule une fournée toute chaude de croissants, fort appréciée du petit groupe, m’a sauvée la mise. L’épouse du couple me regarde d’un drôle d’œil et en aparté me « Tu pourras m’accorder cinq minutes dans le hall de l’hôtel tout à l’heure ?. Je lui réponds : « Oui » et je la retrouve alors que nous nous préparons à partir pour nos ballades de la journée. Elle me dit avec un sourire entendu : « Que ta femme ne se doute de rien quant tu est remonté, soit. Mais, étant assise à côté de toi, j’ai reconnu une odeur caractéristique entre toutes, celle de la mouille. Je sais que tu est allé baiser en remontant dans ta chambre. Qui ? Je m’en doute un peu. J’aimerais que tu me fasse profiter de ta bite. Et cela dès aujourd’hui ou alors je sème le doute dans l’esprit de ta femme ! ». Elle ne me laisse pas le temps de répondre et nous partons pour nos ballades de la journée que nous allons faire ensemble pour la journée.(à suivre)