LouJ’étais étudiant et n’ayant pas trop d’argent je faisais souvent du stop parfois sur d’assez longs trajets. Un jour j’étais allé à la mer rejoindre des copains pour faire de la voile et je rentrais pour un trajet de trois heures environ. Une première voiture m’avait pris pour une cinquantaine de kilomètres et je retrouvais depuis 10 minutes au bord d’une route au soleil. Il faisait chaud et j’étais en short et tee-shirt avec un sac à dos. Une grosse berline allemande s’est arrêtée avec une femme assez jeune, environ 35 ans, au volant. Elle ouvrit la vitre passager et après m’avoir bien dévisagé et demandé où j’allais m’ouvrit la porte. La femme était belle et elle aussi en tenue d’été avec une minijupe et un débardeur assez décolleté. Elle était blonde, bronzée, féminine et sûre d’elle. On a parlé un moment et j’ai vite senti que son assurance venait de sa situation très aisée. Elle était avocate, ne travaillait plus car son mari industriel ne le souhaitait pas. Son jeune enfant dormait sur le siège arrière. Elle me demanda de parler de moi et j’expliquai que j’étais au milieu de mes études, que j’étais célibataire sans copine attitrée et que très sérieux dans mes études j’aimais aussi m’amuser quand l’occasion se présentait. Cela la fit rire et elle me demanda si je savais conduire. Quelques kilomètres plus loin elle s’arrêta à l’ombre sur une aire de repos et me dit « ataköy escort c’est l’heure il faut que j’allaite bébé ». Installes toi au volant c’est toi qui conduit. On est reparti doucement car je devais m’habituer à cette très puissante limousine. Elle s’était installée sur le siège arrière au milieu et avait enlevé son débardeur. Dans le rétroviseur je voyais ses deux gros seins bronzés et gorgés de lait que son bébé tétait. Elle avait l’air d’y prendre plaisir et me regarda dans le miroir en me disant « vous les hommes, vous me connaîtrez jamais ce plaisir intense » et elle ferma les yeux comme si elle allait jouir. Je me suis concentré sur la route pour éviter une catastrophe. Quand elle eut fini elle joua, rassurée par ma conduite prudente elle joua un grand moment avec le bébé puis il s’endormit. Elle resta sein nus en se les caressant un peu. Puis elle mit sa main sur mon épaule et me dis « tu t’arrêteras il faut que j’aille aux toilettes, dès que possible.Je me suis de nouveau posé à l’ombre sur un bord de route. Elle enfila son débardeur et s’écarta à peine de la voiture pour s’accroupir et se soulager d’un jet puissant que j’entendais depuis la voiture. Je l’observais discrètement et je vis qu’elle ne remettait pas de culotte. Elle s’installa à côté de moi et nous reprîmes la route moi, toujours au volant. Sa jupe était retroussée et ses bakırköy escort deux longues et fines cuisses cuivrées m’attiraient le regard. Elle ne dit rien mais au bout d’un moment elle mit sa main entre ses cuisses et commença à se caresser doucement. J’avais du mal à rester concentré. Elle me dit « la grossesse ça augmente beaucoup le désir sexuel et depuis que j’ai mon bébé je suis insatisfaite. Mon mari est très riche mais il travaille beaucoup et moi j’ai besoin de m’amuser de temps en temps ». Elle glissa sa main entre mes cuisses et pris la bosse de mon sexe déjà bandé dans ses doigts en disant « Regardes la route et laisse-moi faire ». Elle ouvrit mon short et sortit mon sexe en le caressant. Elle ajouta « j’ai de la change, il me plait bien ton sexe ». Puis elle se pencha et me prit dans sa bouche. Puis elle me suça doucement, et longtemps. J’arrivai à contrôler mon désir mais je bandais très fort et mon sexe était devenu très dur. Elle s’est redressée a quitté son débardeur et retroussé sa jupe. Elle était quasiment nue avec juste ce tissu enroulé autour des hanches. Elle avait pris mon sexe encore humide de sa salive dans une main et de l’autre se caressait le clitoris. Puis elle remonta sur sa poitrine et fit durcir ses tétons avec ses doigts. Moi je conduisais toujours. Elle s’excitait de plus en plus et commença à user de mots bahçelievler escort stimulant « J’adore faire la salope avec des petits jeunes bien gaulés. Ça te dirait de me baiser. Tu sais j’aime ça me faire mettre une belle bite par un inconnu que je ne reverrai pas. T’en trouveras pas souvent des vraies salopes comme moi etc …A un carrefour sans rien lui dire j’ai pris une petite route de campagne et je me suis arrêté dans un bois. Elle a reculé son siège, m’a tendu un préservatif sorti de la boite à gants et m’a dit « viens mon coquin et fais-moi du bien ». On a baisé sans aucune gêne comme si on se connaissait depuis longtemps. Elle aimait la bite et aimait se faire prendre avec vigueur. Je l’ai défoncée, excité par sa lubricité, et j’ai attendue qu’elle jouisse sans retenue pour lui en remettre une deuxième couche en lui triturant les seins pendant qu’elle écartait ses cuisses encore plus et qu’elle me touchait le clito. Quand elle eut jouit une deuxième fois sans retenue j’ai enlevé le préservatif et j’ai présenté ma bite devant sa bouche. Elle m’a fait un pipe baveuse très efficace et à avalé tout mon sperme en se léchant les lèvres. Après un moment de repos on a repris la route. Son enfant dormait toujours tranquillement. Je conduisais et elle assise à côté de moi m’a juste dit « tu étais très bon, Lou, mon chéri. C’est dommage qu’on ne puisse pas se revoir ». Mais je l’ai revue six mois plus tard. J’avais un job de placeur dans un théâtre. Je la vis arriver en robe du soir décolletée, très bandante, au bras d’un homme grisonnant qui avait bien 20 ans de plus. Quand elle passa devant moi elle me regarda et me dit « Merci, avec un clin d’œil ».