MONSIEUR HURST – PARTIE 4

Amateur

MONSIEUR HURST – PARTIE 4MONSIEUR HURST – PARTIE 4Hurst se réveilla soudainement. Il eut même un court moment de panique. Puis il sourit. Il n’était pas habitué à dormir dans le lit de quelqu’un d’autre. Il replaça sa tête sur l’oreiller puis se retourna vers son compagnon de débauche. Monsieur Marcel était tout à fait réveillé et regardait le plafond. Il avait dû se lever puis se recoucher car il était vêtu de sa robe de nuit fleurie. Hurst était nu. Il se rappelait avoir abusé de son hôte à quelques reprise ou , comme on le disait au 17e siècle, à l’avoir honoré. « Tu m’avais bien dit de te sauter dessus en pleine nuit si je ne pouvais me retenir », dit Hurst, comme pour s’excuser.« Tu as eu bien raison. Je t’ai peut-être un peu provoqué pendant que tu dormais. « , répondit Marcel. « C’était presque violent », ajouta Hurst« Oui..on s’est accouplé en quelques minutes », acquiesça Marcel« J’ai raconté l’histoire des rats au jeune homme blond du bordel », dit Hurst en souriant« Ah oui…les rats….j’en avais parlé à Lucien aussi », dit Marcel« Lucien est aussi au bordel en même temps que moi », répondit Hurst« Ma servante va rentrer d’une minute à l’autre », dit Marcel« Je dois me cacher ? », dit Hurst soudainement gêné« Bien sûr que non… », répondit Marcel, « elle est habituée et discrète. »Les deux hommes entendirent un petit « tap, tap » à la porte et une petite femme habillée d’une robe noire fit son entrée avec une cafetière sur un plateau d’argent qu’elle posa sur le bureau près des deux hommes. Elle aurait pu être la mère de Marcel mais ne l’était pas. C’était une ancienne prostituée pour lesbiennes, trop vieille pour attirer qui que ce soit sauf ses anciennes collègues. « Vous avez terminé ? », dit la dame« Je vous avais promis, n’est-ce pas ? », dit Marcel« Oui Monsieur m’avait promis…mais si vous avez terminé…ce n’est pas grave. Ce sera pour la prochaine fois », dit la dame« Une promesse est une promesse », dit Marcel, qui repoussa les couvertures et enleva sa robe de nuit. La dame recula de quelques pas. Hurst avait tout compris.Le journaliste se rua sur Marcel et, tout en s’embrassant à pleine bouche, les deux hommes nus roulèrent en bas du lit sur le plancher recouvert d’un tapis d’Orient très épais. Hurst était bandé comme un étalon et Marcel aussi. La dame en noir fit le tour du lit et s’approcha du couple. Les deux hommes étaient étendus l’un sur l’autre lorsque Marcel se dégagea et se mit à quatre pattes. Du coin de l’œil, Hurst vit la dame sourire. Le journaliste monta son ami, sa poitrine se frottant sur le dos de Marcel qui retourna la tête pour recevoir d’autres baisers de son amant. Marcel poussa un cri de plaisir lorsqu’il senti la queue dure comme fer de Hurst qui le pénétra. Le journaliste le taquina un peu en lui donnant quelques centimètres, puis la moitié avant de l’enculer au maximum. La dame prit un mouchoir blanc et le tenait sous le gland de Marcel lorsque ce dernier tira son coup. Elle le refermât et le posa sur le bureau. Elle vit Hurst donner ses derniers coups de bassin, puis sortit de la chambre. Marcel se laissa glisser sur le ventre sans perdre le contact avec la queue du journaliste. « Elle me laisse regarder ses ébats avec ses copines », dit Marcel« Je l’ai déjà vu nue. Elle a un beau corps pour son âge », ajouta Hurst« C’est vrai. Elle aime les jeux d’eau aussi », dit Marcel souriant, « Elle me connaît depuis mon enfance ».———————————- ——————————————— —————— En quittant la maison de Marcel, Hurst croisa la dame en noir.« Il y a longtemps, la comtesse de Guimond me choisissait toujours », dit la dame« Vous y allez toujours à cette maison de plaisir ? », demanda Hurst« Oui…vous la connaissez ? », demanda la dame« Non..je n’ai jamais pu la trouver », répondit Hurst« 125, rue de Caumartin…dans la cour », dit la dame. « Pour femmes seulement ? », demanda Hurst« Les femmes ensemble et les hommes ensemble », dit la dame en cachant son sourire avec sa main.« Comment puis-je y avoir accès ? », demanda le journaliste« Avec ça », dit la dame en lui donnant une carte« Pourquoi vous faites ça pour moi ? », demanda Hurst« Pour tout à l’heure. J’aime beaucoup vous voir avec Monsieur Marcel », dit la femme rougissant un peu.« Merci », dit Hurst qui quitta aussitôt en mettant la carte dans sa poche de veston.———————————————- ——————————————————————–Hurst arrêta le cocher à quelques portes du 125, rue de Caumartin. Il poussa la sonnette puis la porte de chêne qui donnait accès à la cour intérieur. Il prit l’escalier et arriva à une porte gardée par un homme bien mis.« Monsieur ? » demanda l’homme« Hurst…et voici ma carte », dit le journalisteL’homme lui ouvrit la porte. Vu le secret canlı bahis şirketleri entourant cette maison, Hurst pensait avoir à passer plusieurs niveaux avant d’arriver aux chambres. Il fut dirigé dans la section réservée aux hommes et se promena sans escorte. Il connaissait certains hommes de vue, qui le saluèrent. Soudain il vit un homme en chemise et avec des pantalons qui mettaient bien son corps en évidence.« Tiens, on se revoit », dit Hurst« Tout à fait. Nous passons des matelots aux choses sérieuses », dit l’homme que le journaliste avait rencontré lors du spectacle chez Mazarin, celui qui avait été quartier-maître sur un bateau.Les deux hommes, qui s’étaient mutuellement excités chez Mazarin, semblaient prêts à se frotter l’un à l’autre, comme disait l’homme, d’une façon plus sérieuse.« Je pense que nous aimons les mêmes fesses », dit Hurst, un peu déçu.« C’est un fait, mais j’aimerais bien coucher avec vous tout de même », dit l’homme sans détour.Les deux hommes étaient dans un salon, dans lequel quelques hommes discutaient en fumant un cigare ou buvant un verre.« Trouvons un endroit plus discret », dit l’homme en prenant Hurst par la taille.Les deux hommes, que leur pantalon trahissait, étaient parfaitement bandés. Ils se hâtèrent de rejoindre une chambre tout près du salon. Ils y trouvèrent un bain bien chaud qui les accueillit tous les deux. C’est la première fois qu’ils se voyaient nus. Ils étaient du même âge ou à peu près. Le marin était musclé et se prénommait Richard. Ils en profitèrent pour bien se laver et pour bavarder un peu. Ils avaient la même idée en tête.« Alors les Chinois ? », demanda Hurst pour briser la glace« Ils aimaient bien se lécher la rosette », dit l’homme avec un large sourire« Ils le faisaient chacun leur tour ou en même temps ? », demanda Hurst« Souvent en même temps…je peux vous montrer », dit l’hommeTrès excités par cette proposition, les deux homos se levèrent et se séchèrent rapidement. Hurst déjà porté sur les fesses trouvaient celles de Richard particulièrement attirantes. Il faut croire que Richard avait les mêmes goûts. Le lit de la chambre fut choisi pour que les deux hommes assouvissent leur désir. Richard se coucha sur le lit en relevant les jambes vers ses épaules et invita Hurst à faire de même mais tête-bêche. Après quelques minutes d’essai, ils réussirent à pouvoir rejoindre la rosette de l’autre avec leur langue. Avec le temps, ils étaient moins tendus et l’accès devint plus facile. Chacun avait la langue qui pénétrait la rosette de l’autre de quelques centimètres et recevait la langue de l’autre dans son trou plissé. Les deux homos étaient en sueur, surtout après leur bain chaud, et quand ils virent que leur queue était au maximum, ils se firent une petite branlette qui les inonda aussitôt. Ils retournèrent aussitôt dans le bain avant de se rhabiller et de repartir à la chasse dans le long corridor. « Merci aux Chinois », dit Hurst en ricanant« Dans le service, quand on bouffait le cul d’un Chinois, on appelait ça entre nous « un met chinois » car le sexe à bord était interdit, » dit RichardIls arrivèrent à une porte fermée à clé mais de chaque côté il y avait des salles et des chambres en enfilade. « C’est la ligne Maginot », dit Richard en riant, « la séparation entre les hommes de ce côté et les femmes de l’autre ». « Vous voulez dire que c’est rempli de lesbiennes de l’autre côté », dit Hurst très intéressé. « Tout à fait », répondit Richard, « Vous êtes amateur ? », demanda-t-il« Si…très amateur de lesbiennes. Combats de femmes aussi. », ajouta Hurst« On a les mêmes goûts », dit Richard.Richard regarda par le petit carreau de bois coulissant qui permettait de voir quelques salles des femmes.« Rien à signaler pour le moment », dit-il à Hurst en haussant les épaules.Le journaliste avait continué à pousser les portes de l’enfilade de chambres. Une dernière salle était ouverte et plusieurs hommes habillés regardaient un spectacle en fumant et en faisant des paris. Deux hommes nus étaient assis sur le plancher et se faisaient face, les jambes écartées. « Ah, un combat de queues », chuchota Richard qui semblait excité« Vous avez raison. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça », répondit HurstLes deux combattants, dans la quarantaine, avaient la queue attachée à la queue de son rival par quelques rubans qui n’étaient ni trop serrés pour empêcher le frottage, ni trop lâches pour permettre aux membres de perdre contact. C’était un art de nouer ces rubans. Les deux queues se tenaient bien droites et les deux rivaux par d’habiles mouvements du bassin faisaient que les queues se frottaient l’une contre l’autre, dans leur partie la plus sensible. Bien sûr, le but était de faire jouir l’adversaire et celui qui jouissait le premier était perdant. Hurst et Richard admiraient canlı kaçak iddaa les deux bites bien bandées qui laissaient voir les veines bleues et un gland rouge qui semblaient vouloir exploser. Les deux combattants étaient très près l’un de l’autre, ce qui permettait des baisers et même des coups de langue aux tétines. Chaque combattant avait à ses côtés quelques témoins, également nus, qui surveillaient le tout pour s’assurer que la victoire était bien méritée. L’homme qui était le plus près d’Hurst et de Richard avait une petite moustache bien taillée et était particulièrement beau. « De beaux étalons », chuchota Hurst« Dommage que ce ne soient pas des biches », dit Richard« Non, mais au pire, on se suce la bite », répondit Hurst qui ne laissait rien passer.Les deux hommes faisaient un effort supplémentaire et même leurs sacs se frottaient. Après un long baiser, ce fut le monsieur à la moustache qui tira un grand coup le premier. Son rival ne jouit même pas même s’il semblait sur le point de le faire. Les spectateurs applaudirent et les deux hommes se serrèrent la main. Chacun avait amené ses témoins également pour servir une biche au gagnant. Dans ce cas, le gagnant, un homme bien musclé et blond choisit un jeune éphèbe et ne mit pas de temps à l’enfiler sous les regards envieux de plusieurs spectateurs. L’acte se vit rapidement car l’étalon était tout près de la jouissance à la fin du combat. Les hommes amateurs de ce genre de combat distribuaient leur carte-de-visite à des rivaux en puissance. Même s’il s’agissait par définition d’un groupe d’étalons, certains s’arrangeaient pour approcher un autre homme par derrière et frotter le devant bien arrondi de son pantalon sur les fesses de sa proie. Ça se terminait habituellement en bousculade car rares étaient les étalons qui recevaient des hommages entre les fesses. Richard avait même été obligé de reconduire Hurst hors de la salle quand le journaliste avait été mal reçu par un bel homme au fessier proéminent. Hurst s’était excusé mais l’homme l’aurait défié aux poings si Richard ne l’avait pas sauvé. « Il faut savoir choisir ses proies », dit Richard« Je vois…et j’apprends », répondit Hurst contritPour se changer les idées, les deux homos se dirigèrent vers les petits panneaux coulissants qui donnaient sur les chambres des femmes. Tout était désert.« Quelle heure est-il ? », demanda Richard« Il est 15h. », répondit Hurst« Ah c’est ça…les femmes sont occupées l’après-midi et ne peuvent s’échapper de leurs tâches ou de leur mari que le soir », dit RichardLes deux compagnons décidèrent de revenir plus tard voir ce qu’on appelait « le mur des tribades ». « Ah tiens…un ami », dit Hurst« Albert..je te présente Richard », dit Hurst à un homme un peu grassouillet et court, vêtu d’une longue tunique blanche à travers laquelle on percevait ses poils et un peu de sa peau.Richard répondit par un signe de la tête et un sourire.« J’ai déjà visité votre boutique », dit Richard qui avait reconnu l’antiquaire« Oui ..je me souviens…il y avait du monde…malheureusement », dit l’antiquaire avec un sourire qui en disait long. « Justement j’allais assister, comme invité, à une petite rencontre. Vous aimeriez peut-être m’accompagner ? », dit AlbertLes deux compagnons accompagnèrent Albert dans un dédale de chambres et de salles avec plafonds décorés au XVIIIe siècle. Ils arrivèrent à une porte fermée mais devant laquelle il y avait des chaises et des vêtements. Les deux hommes se déshabillèrent complètement et Albert garda sa tunique. Albert frappa trois petits coups à la porte qui s’ouvrit. Les trois hommes pénétrèrent dans une petite chambre, presqu’une chambre de bonne, qui contenait un lit qui occupait toute la place sauf quelques mètres autour. Comme tous les hommes dans la chambre étaient nus, Albert enleva sa tunique. Certains spectateurs sirotaient un verre de champagne, d’autres fumaient, ce qui ajoutait à l’atmosphère érotique des plaisirs défendus. Ça sentait l’homme, la sueur et le sexe. Sur le petit lit deux couples masculins se caressaient. Deux hommes de près de 60 ans se suçaient en 69 et tout à côté, les touchant souvent, un jeune couché sur le ventre qui se faisait entuber par un homme un peu plus âgé. Aussitôt l’orgasme atteint, les couples laissaient la place à ceux qui attendaient.Voyeurs, étalons, boniches, tous faisaient partie de ce groupe bigarré qui ne cherchaient qu’une chose : le sexe entre hommes. Hurst se doutait bien que Richard et l’antiquaire s’étaient frottés l’un à l’autre en cette journée de visite mais n’avais pu poursuivre leur aventure. Il vit Richard défendre sa boniche contre les avances des autres étalons. Le lit était décidément trop petit et quelques couples se suçaient le long des murs. Les hommes présents n’étaient pas des ouvriers, des cheminots canlı kaçak bahis ou même de petits comédiens de théâtre, mais des financiers, des écrivains connus, des hommes politiques, des avocats et des médecins. C’était cochon. Ils étaient tous venus pour le sexe. Hurst s’aboucha avec un avocat à favoris plus vieux que lui. L’échange de langage était ordurier. Il sentait l’alcool. Hurst le força sur le dos, ses jambes sur les épaules du journaliste et lui plongea la bite entre les fesses. Une douzaine d’hommes au moins, tous nus, des jeunes et des beaucoup moins jeunes se cherchaient, se caressaient les fesses et la bite bien bandée. La plupart ne se connaissaient pas et c’étaient la chasse à la jouissance avec l’inconnu. La plupart étaient maintenant en couple, certains étaient partis assouvir leur désir plus loin. Puis il y eu de la bagarre. Albert se chamaillait avec une autre boniche. Hurst tira son coup dans son avocat à favoris et rejoignit Richard qui était à l’origine du différend entre Albert et l’autre boniche. Il y eu une pause parmi les hommes qui n’étaient pas encore accouplés. Tous voulaient regarder la bataille entre les deux tantes bien bandées qui se pinçaient les tétines et s’arrachaient les mèches de cheveux. Les deux homos femelles s’invectivaient et tentaient de se donner des coups de pied. Ils tombèrent tous les deux à genoux d’épuisement puis ce fut le signal que Richard et un autre étalon attendaient. Chacun encula sa boniche maintenant à quatre pattes et les poussèrent face à face l’une contre l’autre. Sentant la grosse queue de leur amant les pénétrer, les deux tantes redoublèrent d’énergie et le combat reprit vie. Les deux étalons surexcités par la bataille pistonnaient leur boniche avec de plus en plus d’énergie. Cinq ou six hommes se masturbèrent sur les deux couples et le tout se termina quand les étalons lâchèrent leur jouissance dans le fond des boniches tout en hurlant à l’orgasme. Quand Richard rejoignit Hurst, les deux étaient épuisés mais contents.Richard s’approcha de la petite fenêtre à glissoire qui donnait un accès visuel à la section des femmes. Hurst fit de même. Une très jolie blonde dans la cinquantaine se déshabillait lentement avec l’aide d’une des putains de l’établissement. « Tu connais ? », chuchota Hurst« Aïe….oui je connais….c’est la comtesse Eva de Brunswick. Son mari le comte est l’attaché militaire d’Allemagne. Elle est aussi d’origine allemande mais elle est en France depuis longtemps. », répondit Richard qui était le bottin mondain le plus instruit de Paris.« Elle est lesbienne ? », demanda encore Hurst« On lui prête une liaison en ce moment mais tout le monde croit à un amant », ricana RichardLa femme de l’établissement quitta la chambre lorsque que la comtesse fut complètement nue. Elle avait la peau blanche des blondes, des seins petits mais mignons, et des fesses de petit garçon. Ses cheveux blonds bouclés descendaient sur ses épaules et Hurst admira le duvet qui ornait son pubis bien arrondi. Elle s’étendit sur le lit blanc et attendit quelques minutes avant que la porte s’ouvrit et laissa entrer une grande femme mince vêtue d’une longue robe noire et d’un large chapeau également noir et d’une paire de gants noirs. La nouvelle arrivée avait un très beau visage de brune. Une fois la femme en noire dévêtue, les deux lesbiennes s’embrassèrent longuement. La brune renversa son amoureuse sur le lit et se mit à lui lécher le pubis. Les deux étaient dans un autre monde lorsque la porte s’ouvrit lentement. La grande brune se glissa sur son amoureuse et se frotta sur elle. La comtesse ne voyait pas la porte et, de plus, elle était tout près de l’orgasme suite au frottement de la vulve de son amoureuse sur la sienne. Soudain, la comtesse poussa un cri strident. Deux femmes, déguisées en danseuses de l’établissement, entourèrent le lit et munies d’appareils photos prirent plusieurs clichés des deux gouines en position compromettante. La grande brune avait le sourire aux lèvres et prenant ses habits, courut rapidement hors de la chambre accompagnée des deux autres femmes. La comtesse de Brunswick, réalisant qu’elle venait de se faire prendre la main dans le sac et de compromettre la carrière de son mari, se mit à crier et à pleurer jusqu’à ce que des filles du bordel viennent la chercher et la conduire en lieu sûr.Encore sous le choc, Hurst et Richard se regardèrent totalement ébahis.« C’est pour toi ce scoop-là », dit Richard« Je ne crois pas. C’est trop politique. », répondit Hurst.« Tu connais la brune ? », demanda Richard, lui qui habituellement était la source de ces potins. « J’ai vu sa photo il y a une semaine. C’est une pianiste russe qui fait une tournée en France . Elle doit aussi travailler pour les services d’espionnage. Quelle belle prise que la femme de l’attaché militaire d’Allemagne retrouvée dans le lit d’une autre femme. »Les deux hommes savaient qu’il y aurait des répercussions non seulement politiques mais dans les relations entre les homos qui frayaient au gouvernement et dans les ambassades. Ça promettait.FIN

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