Tante est si bien (Jour 3)

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Tante est si bien (Jour 3)III.Jour 3Le lendemain, je dors et dans mon rêve, je sens des lèvres sur les miennes, un corps, des caresses… Mais je ne peux réagir, replonge de plus belle…C’est la faim qui vers midi me tenaille… La chambre est vide, en ordre…Je trouve un mot sur la table de la cuisine : « Déjeune si tu veux, on mangera plus tard… Mes amies sont parties. »La douche me fait du bien, je musarde en regardant le jardin, puis m’habille…Le café pour une fois me semble un bon choix… Elle l’a fait, avec une brioche…Je reviens au salon, après avoir rincé les bols. Un petit SMS à ma mère…Elle me répond très vite, me demandant si tout va bien, si je ne m’ennuie pas trop, etc…J’envoie aussi un message à mes potes de la fac, sur Facebook… La porte s’ouvre…-Coucou, tu as déjeuné ?-Oui… Merci, la brioche était bonne…-Merci…Elle passe dans sa chambre et revient en robe d’intérieur, très chic… Elle sent bon…Je ne sais comment…Elle me fait la bise, comme si de rien n’était…-Avant toute chose…-Oui ?-Je voulais te parler d’hier soir… Mes amies se sont ruées sur toi, comme des gourgandines… Je n’ai pas apprécié qu’elles ne m’en parlent pas avant… Je n’ai rien vu venir… Juste au restaurant… Je pense qu’il vaut mieux prendre cette soirée comme une parenthèse. Nous sommes parents et je ne veux pas être accusée de quoi que ce soit envers toi… Chut, attends…Elles ont le droit et toi aussi de faire ce que bon vous semble… De la chair fraîche, de la nouveauté, un beau jeune homme, tous les ingrédients pour exploser leurs libidos, déchaîner leurs hormones… Et les miennes aussi… J’ai été jalouse de te voir avec elles, de te faire initier, de les entendre jouir, de les voir se pâmer de plaisir, sauter sur ton sexe comme des affamées… Mais ceci peut se comprendre, et j’ai eu tort de les inviter…En ce qui me concerne, je me sens en faute d’être restée avec toi cette nuit… Nous avons fait l’amour, j’ai apprécié ta jeunesse, ton ardeur, là n’est pas la question… Mais nous sommes parents, c’est un fait et l’on se doit respect. Si tu es d’accord, on referme cette parenthèse, on annule mercredi, car je les vois venir…-Je comprends ce que tu me dis… Certes, tes amies ne se sont pas gênées… Mais je n’ai pas crié au viol !… Il fallait que ça m’arrive, ici, chez moi, ailleurs, demain…J’ai eu de la chance… D’abord de tomber sur des femmes superbes, et qu’elles me donnent ce que je voulais… Découvrir, apprécier, initiation de luxe et finir avec toi que j’ai tant convoitée…Tes amies qui plus est…. Donc je ne risquais rien… J’étais entre de bonnes mains, et me suis fait dépuceler sans souci.J’ai goûté à tout, faisant le tour du sujet en quelques heures… Puis la cerise, c’est toi, la gâteau tout entier devrais-je dire !… Excitée par les tableaux précédents, me voir entre les mains de tes amies, les faire jouir, tu m’as enfin vu en tant qu’homme et plus ton neveu de bébé… Tu as découvert mon sexe, elles en jouissaient de plaisir, tu m’as vu les satisfaire, tu les as entendues gémir, jouir, crier… On t’a donné envie, mise dans l’ambiance, tu t’es sentie exclue… Alors tu as craqué… Quel pied j’ai pris avec toi !… Comme je le pensais, un corps épanoui, des formes pour l’amour, des seins à faire bander un mort, et ta magie, ta bouche et tes lèvres… Tu m’as emporté, tu m’as séduit, tu m’as appris les choses sur la femme et le sexe… Et puis tu t’es donnée, offerte sans complexe, deux adultes excités recherchant le plaisir.Pas de sentiment, juste de la tendresse, ce plaisir de partager des merveilleux instants, de recevoir et d’atteindre tous les deux cette plénitude si difficile à trouver… Voilà ce que je pense… On a fait l’amour avec passion, avec tant de rêves accumulés pour moi. J’ai enfin découvert ce que je cherchais l’an passé, j’ai trouvé de quoi fantasmer encore et encore et n’espère qu’une chose, pourvoir recommencer…Mais je sais, la morale, les apparences… Je suis conscient de ça…Pas de sentiments, juste du plaisir à être ensemble, dans notre intimité et ce sera le secret le mieux gardé du monde… J’ai des besoins immenses, que je dois refréner, alors puisque tu es là, ne m’oblige pas à aller voir ailleurs… Elles m’ont parlé de toi, de vous, vous sortez et vous libérez vos pulsions sexuelles, car, malgré que vous soyez intimes, il vous manque l’homme pour combler vos désirs… Je comprends que tu aies des besoins, ce sont les mêmes que les miens…Tu as un amant aussi, justement pour cela… Mais tu le leur caches…Moi je pense que c’est ton patron… Il t’a sous la main si je puis dire… Il t’apprécie, tu aimes sa tendresse, celle qu’il te donne, et son sexe vient assouvir tes besoins… Mais il est marié et parfois le temps te dure, il te faut autre chose…Je viens te le donner… On ne se voit pas souvent, on est très loin, mais cette nuit j’ai fait un bond de géant dans ma vie intime… Je suis devenu ton amant, tu as été ma maîtresse… Plus qu’une simple partie de cul, j’ai ressenti notre plaisir partagé, cette confiance que l’on n’a jamais ailleurs, avec un inconnu et ce partage qui nous a tous les deux fusionnés…Des larmes coulent le long de ses joues, ses yeux bleus sont rivés aux miens, elle vient contre moi…-Tu sais, personne ne m’a parlé comme ça, jamais… Même elles… C’est vrai… Après mon divorce, j’étais perdue… Jacques m’a embauchée, j’avais 40 ans… Je ne connaissais pas grand-chose à la comptabilité… Il m’a formée, m’a payé des cours… Je suis devenue sa maîtresse au fil du temps, j’avais besoin de vivre, j’avais besoin qu’on m’aime, d’une épaule aussi… Ca c’est passé simplement, un baiser, puis un autre, des caresses de plus en plus précises, et l’envie qui arrive… Ca faisait deux ans que j’avais pas fait l’amour, juste quelques flirts… Je ressens de la tendresse pour lui… Il a remplacé mon père, mon mari, un tout… Mes amies sont arrivées et on partage beaucoup… D’abord Solange, un coup de folie un soir chez moi, puis Marie que l’on a connue plus tard. Au lieu de nous risquer dans des boîtes malfamées, fréquentées par des jeunes, des drogués, nous sommes restées entre nous quelques temps… On a découvert l’amour lesbien, à deux puis à trois, bien que Marie soit plus libertine, bien plus que nous. Elle nous a entraînées dans des parties fines, des soirées, mais on ne pratique que rarement, vraiment lorsque on n’en peut plus… Alors on s’offre ce genre de divertissement, tout le monde avec tout le monde, des gens bien, des gens connus parfois. On le fait sans arrière-pensée, juste pour le sexe, on y passe la nuit… Puis la vie reprend et on oublie ces moments d’égarement…Voilà ma vie, tu vois, pas de quoi sauter au plafond… Ma vie est établie, tu viens la bousculer, j’ai peur de tout gâcher, j’ai peur de m’égarer… Dis-moi que tu me respecteras, que tu respecteras mes amies, et que tout ce qui se passe ici sera un secret entre nous…-Je te le jure, oui, je te l’ai dit… J’aime ton corps et je veux en profiter, le mien est en train de bouillir, comme un volcan… Prends-le et donne-toi… Je veux ton expérience, ta tendresse, ton amitié peut-être et ce ne sera rien qu’entre nous, et tes amies… Si tu n’es pas jalouse…-Oh !… Coquin !… J’ai peur de craquer pour toi…-Mais je serai loin dans quelques jours…-Justement, ne vas-tu pas bouleverser ma vie, me faire t’aimer, comme un amant, un amour…-Tu le dis, je suis jeune… Mes ailes viennent de s’ouvrir… Ne vois en moi que mon sexe, sers t’en, jusqu’à plus soif, apprends-moi la femme, l’amour, tout, partage avec Solange et Marie…-Tu es un cheval fou… Je tombe dans ton piège, à pieds joints… Je t’écoute et je revois les images de cette nuit, d’elles, de toi, de nous 2… Tu viens de me décrire cette passion qui t’anime… Sache que moi aussi, j’ai découvert en toi cette étincelle que mes anciens amants, mon mari, avaient dans leurs yeux lorsqu’ils me désiraient… Oui, j’ai envie de toi, oui, j’aime ton sexe, oui je veux jouir dans tes bras, t’apprendre à me prendre, oui et tant pis pour la morale, nous sommes deux adultes, libres et avertis, alors viens contre moi, viens me faire oublier mon âge, épingle ma photo dans ton journal intime… Pour toi je ferais tout, si tu me le demandes, poser nue, figer ma nudité, ton sexe qui me prend, ta semence après-coup, mon visage serein après ma nuit d’amour…Je deviens ta maîtresse, à partir de ce jour, prends-moi donc sans complexes, ose ce qui te plaît, je répondrais de même, avec féminité…Ma main ouvre son peignoir, elle m’entraîne dans sa chambre…Je bande, rien qu’en y pensant et quand elle retire mon slip, et mon sexe s’érige comme un étendard…-Mon dieu, ce n’est pas vrai ?En trois temps, je me retrouve nu, au milieu du lit, dévoré par sa bouche, par ses lèvres, ses seins contre ma poitrine qui viennent me chatouiller… Je les prends dans mes paumes, elle en est très sensible… Elle se met à gémir, à crier… Juste en les effleurant, elle se tort, se fait chatte… Alors je m’y attelle, et lui donne un orgasme mammaire… Elle devient furie, perd pieds, s’envole, jouit, m’embrasse pour me remercier…-Viens, prends-moi, je vais m’évanouir…On passe en 69, elle se jette sur moi, sa tête va et vient, je découvre ses cuisses, le nez dans sa toison, sa liqueur a coulé et macule les poils, je ne peux que lécher tendrement le trop-plein qui coule de sa source, et m’y arrêter, en l’ouvrant de mes doigts, et y plonger ma langue et la faire mourir de plaisir…Elle me savoure depuis près d’un quart d’heure et je résiste… Elle a joui longtemps, gémissant son plaisir, puis s’est écartelée pour que je la prenne, j’ai exploré son vagin en détail, érigé son clitoris, recueilli sa liqueur avec ma langue… Elle s’est mise à serrer ses lèvres sur ma queue, j’ai dû l’interrompre pour ne pas exploser…Elle s’est mise à rire, et puis à délirer…-Oh, viens !… Oh, j’ai envie de toi… Prends-moi, comme un soudard, prends mon cul si tu veux, j’ai envie d’être pute, de me donner à toi, de jouir par les trous dont la nature m’a pourvue… J’ai envie de vibrer, de boire ta semence, tout ce que j’ai fait avec mes anciens amants, je veux le refaire avec toi, comme si j’étais vierge, repartant à 0… Prends-moi comme tu veux, fais de moi ta chose, mais ne me fais pas mal… Attache mes poignets, ligote mes chevilles, j’ai un gode dans le tiroir, si ça peut t’aider… Il est là, tiens… Il a des piles… Je m’en sers quelquefois quand Jacques me délaisse… Et puis tu peux pincer mes bouts, tu as vu, mes seins sont très sensibles je jouis instantanément… J’ai déjà goûté aux fruits aussi, au champagne sur mes seins et ma chatte… Je veux assouvir tes fantasmes, te libérer, sur toi m’écarteler, me faire jouir de toi, boire ta semence, te branler dans mes seins, te sucer dans la rue, faire l’amour sur la plage, dans la forêt appuyée contre un arbre, dans un magasin, à la gare, dans un ascenseur, en plein restaurant sentir tes mains sur moi, te branler sous la table, faire venir le serveur et lui montrer un sein, photographier ma chatte en pleine rue et te montrer mes fesses, faire l’amour dans une église, sur un balcon avec des vis-à-vis, sonner chez un voisin nue comme un ver et le faire venir avec la voisine pour se les échanger au milieu du salon, conduire toute nue, te sucer sur l’autoroute, me masturber au péage, baiser avec un noir, me donner à un inconnu dans un cinéma X ou le faire dans les dunes, faire l’amour avec toi devant une caméra, publier sur internet, tourner un film x avec des acteurs et des actrices, draguer dans les bistrots gais, faire la pute au bord d’une route toute une après-midi, devenir échangiste, te traîner dans une de nos soirées…Ses yeux coulent, je comprends sa tristesse, ses rêves inassouvis, sa vie… Mon cœur se serre…-Je t’aime !…-Oh, non… Que c’est vilain de me torturer ! Je viens de me mettre à nue devant toi, physiquement et moralement… Tu es bien trop jeune pour aimer une femme comme moi… On n’aime pas une femme mature, on partage sa vie, sa tendresse, ses amies, oui, ça tu l’as déjà fait… Mais tu vois je ne suis rien, face à ces jeunes louves qui vont croiser ton chemin, ton lit, partager ton destin… Non, je ne suis qu’un amour de vacances, oui, c’est ça, un amour de vacances… Toutes les trois… Alors viens ! Fais-moi l’amour…Elle l’avait dit… Elle glisse mon chibre entre ses seins et je vais et je viens…Que c’est doux, que c’est bon… J’ai de nouveau la forme, un pénis de compétition, digne d’un film X…Le gode est resté là, abandonné sur le lit… Elle intercepte mon regard…-Vas-y, tu peux, tu sais t’en servir ?-Heu…-Vois, voilà, tu as les vitesses, il peut vibrer par-là, il se contorsionne, par-ici…Elle est toujours sur le dos, cuisses ouvertes, mon sexe entre ses seins… Mais j’ai une autre idée… Je pince ses tétons doucement, ils réagissent, s’érigent, je continue à me branler dans sa poitrine… Elle soupire, gémit… Je continue à malaxer ses seins, ressentant son plaisir qui monte avec le mien, qui entretien mon érection…Je me recule, ouvre ses cuisses et la prends sans coup férir…Je déclenche un orgasme puissant, elle crie, gémit… Je la possède avec fougue, chevauchant son bassin, ma verge plantée, une cadence folle, elle se libère, s’ouvre, se donne avec passion, pleure de plaisir de me sentir si gros, si intense…-Oh, oui… Baise-moi… Oh, que c’est bon comme ça… Viens jouir…Alors je plante l’appareil entre ses fesses et elle se met à vibrer, trembler, tandis que je la prends, je l’ai sodomisée avec son gode énorme….-Oh, oui, mon chéri, je suis tienne, je jouis des deux trous…C’est un festival de vocalises, elle n’est plus la pauvre petite femme effacée, mais une salope de première classe qui aide l’appareil à lui défoncer l’anus, le réglant au maximum. Je pince ses tétons, elle hurle de plaisir, alors que je la pilonne de plus belle, sentant l’éjaculation arriver à grands pas…Elle enfonce l’engin à fond, j’ahane mon plaisir qui arrive, elle crie son orgasme qui résonne dans toute la maison…Allongés l’un contre l’autre, épuisés par ce combat, nous reprenons notre souffle et nous grisons de toutes ces sensations… Je revois son visage lorsqu’elle a joui de moi et du gode, elle était dans un autre monde… Moi aussi sans doute !-Ce que j’ai dit avant… J’avais tant envie de toi…-Moi aussi, je ne voulais pas arrêter comme ça, tu me plais tant, Véro, vraiment…-Parce je suis la première, enfin presque, c’est Solange qui a commencé…-Elle a été très douce avec moi, tu le lui avais demandé ?-Oui… J’avais si peur pour toi…-Je sais… Tu es comme maman, tu ne peux t’empêcher de me protéger…-Oh, tu ne risques pas grand-chose, mais moralement c’est une étape de la vie dont on se souvient longtemps, alors si on peut réussir sa première fois…. Nombre de filles se sont laissé prendre sans réfléchir, par défit, dépit, jeu, et elles regrettent… D’autres ont eu très mal, n’ont pas compris, ou se sont faites quasiment violées, mais que faire dans le cas où elles avaient fait la moitié du chemin ?… En tous cas tu es très doux maintenant et j’aime cette douceur, car je sens ta fougue au fond de moi, tu étais pressé d’aller au but, mais désormais tu sais attendre, patienter, me faire grimper aux nues, t’occuper de ta partenaire… Et puis tu sais te lâcher et me faire jouir à fond, me prendre comme une pute, oublier qui je suis, et te vider en moi…-Jacques n’est pas comme ça, il a plus d’expérience ?-Oui, il est doux, plus âgé et moins souple… Nous sommes de vieux amants…-Tu es allée le rejoindre hier…-Oui, il était seul… Il m’a juste embrassée, et m’a déshabillée, puis m’a prise sur la table entre ses encriers… Il est direct quand il est comme ça…-Tu jouis ?-Oui… Moins fort, moins déluré, mais parfois il pimente, sort de la baise papa-maman… Nous les femmes, on aime la douceur et la tendresse, mais parfois on aime l’originalité. C’est lui le gode… J’ai un petit canard aussi pour les soirs d’hiver…-Il ne t’a jamais demandé de le faire avec Solange ou Marie ?-Ah, non, je ne veux pas. Ils ne se connaissent pas… Jacques c’est mon secret, je sais que c’est du cul et c’est tout. Il ne divorcera pas, il ne vient jamais chez moi. Parfois il m’offre un restaurant dans une auberge, on dort ensemble… Mais la plupart du temps, c’est au bureau, quand les autres sont partis, ou le week-end quand il s’échappe, sa femme chez sa mère…-Et avec tes copines, tu aimes te donner ?-Oh, c’est moins souvent… On marche, on se ballade, on se raconte, mais les soirées sexe se font plus rares… Avec Solange je suis bien, on se comprend, on a les mêmes besoins physiques… Elle dort chez moi, on échange de la tendresse, des caresses… Mais on a eu peur de ces soirées chez Marie. Hommes et femmes de tout âge, qui s’offrent à tous… On entend des cris, des hurlements de hyènes, il y en a partout dans la maison… Ca va un moment, j’ai goûté ces orgies, j’ai participé plusieurs fois, réalisé mes fantasmes… J’ai eu tous les partenaires possibles, toutes les combinaisons, j’ai subi tous les assauts, les hommages, les drogues et l’alcool, les propositions indécentes, les jeux, les humiliations, les entraves, les chaînes… J’ai crié souvent, de plaisir, pleuré parfois, j’ai eu mal quelquefois, mais sans méchanceté, et puis j’ai joui alors que je ne voulais pas, trop pervers, trop excessif, trop humiliant… Il y a des positions ou des actes que je réprouve. Je me fais respecter, et si on ne comprend pas alors j’enrage et suis capable de tout… Mais ce fut qu’une fois et ne s’est plus reproduit, un instant d’égarement d’un participant, Marie l’a viré de son cercle…-J’ai senti qu’elle était une maîtresse femme… Directive, péremptoire…-Oui, elle aime s’imposer, mais avec nous, elle est calme et douce. Elle peut devenir enragée, tigresse, elle a un fouet, nous flagelle… Elle maîtrise ce jeu, j’apprécie modérément, mais je comprends les autres… Certaines en redemandent et jouissent sous les coups de fouet, s’avilissent et s’abaissent au niveau le plus bas, comme des animaux… On entre dans un domaine que je déteste. Marie pratique le BDSM, parfois elle ressort blessée, épuisée, limite évanouie, d’avoir repoussé ses limites, elle sonne chez moi au matin et dort toute la journée contre moi, puis elle me fait l’amour quand elle a récupéré pour prendre ma tendresse… Je n’aime pas souffrir pour jouir… Solange non plus. Marie n’est pas réfractaire à des jeux violents, intrusifs, elle a quelques copines qui adorent ça, elle en a amené une, une fois, et nous a fait une démo… Les seins pincés, les objets divers et variés, et le fouet très présent, et d’autres outils pervers, sur et autour du sexe et de l’anus, des tétons, une panoplie complète de godes et de jouets, les tatouages très glauques… Elles étaient épuisées à la fin, sans homme, rien qu’entre elles… Tu aimerais connaître ?-Je ne sais pas, je suis en-dehors de ces pratiques que je vois sur Internet… -Tu as essayé avec un homme ?-On s’est caressé, il y a longtemps, j’étais jeune…-Pas de pénétration ?-Non, ça n’a pas duré.-Tu m’as sodomisée, et si je te faisais la même chose, tu aimerais tester ?-Comment ?-Avec un gode ceinture, une pratique très présente dans les soirées coquines… Les femmes peuvent donner libre cours à leurs fantasmes… Elles deviennent des hommes avec un pénis et font ce qu’elles veulent avec leurs partenaires, les faisant jouir de la même façon, quel que soit leur sexe…-J’ai vu ça dans des sites et dans des vidéos… Mais sur Internet on ne sait pas si c’est réel, si c’est un film avec des acteurs pornos, ou si c’est du live, lors d’orgies démentes…-Tu as faim ?-Un peu…-J’ai pris un poulet cuit, tu veux le réchauffer ou froid ?-Froid ça fera pique-nique…-Surtout nique, si je suis ton regard de jeune vicieux entre mes cuisses…-Oh… Il faut bien que je regarde quelque part…-Ben voyons… C’est vrai que je te plais malgré les affres du temps ?-Tu es bandante comme une jeune fille, tes formes pleines, tes seins opulents qui nous donnent envie de les prendre dans nos mains, ta foufoune sombre, tes fesses bombées, tes hanches en guitare, tu me fais craquer, et j’ai envie de t’embrasser, de soulever ta jupe ou ta robe, d’ouvrir tes cuisses, et de te fourrer jusqu’à exploser dans ta chatte…-Et bien ça, c’est dit… Tu es un gros pervers lubrique, je vais me doucher…-Je peux t’accompagner ?Le jeu continue et en plein savonnage mutuel, sa bouche prend ma bite, elle m’astique le jonc, puis elle se cambre et m’offre son derrière, penchée sur un tabouret de bain… On le fait sous la douche, l’eau gicle de toutes parts, inonde toute la pièce, mais on s’en fiche, et j’entends des râles sourds, je la prends par les hanches la maintiens, la baise de plus en plus vite, elle se met à rugir, quelle femme superbe, ses nichons vont et viennent, ses cheveux trempés encadrent son visage, je la vois dans la glace et continue à la posséder, jusqu’à ce qu’elle jouisse…-Oh, ouiiiii…. Viens… Fais-moi mal…Mes coups de reins deviennent puissants, la propulsent contre le mur auquel elle se tient, ses fesses rebondissent, ses seins sont malmenés… Je termine en beauté, la sentant prête à exploser son orgasme, je me vide dans son con, elle crie son plaisir, j’ai franchi une étape, elle est à genoux et se tient la chatte…-Tu me l’as explosée…Immédiatement je l’emporte sur le lit et consciencieusement, je fais le tour du problème, à part quelques rougeurs et une griffure d’ongle, je ne vois rien d’anormal… Ma langue suit ses contours, ôte toutes les traces, j’écarte les poils soyeux, ouvre les grandes lèvres, un peu de moi s’écoule de son vagin, j’y goûte, elle grogne de plaisir…-Tout va bien… Pas de lésion…-Coquin, tuzla escort bayan j’ai adoré… Je vois que toi aussi…-Je vais dévorer le poulet, toi et toute la basse-cour, elles reviennent quand tes amies ?-Salaud de pervers, je vais t’en faire baver, tu vas voir, c’est toi qui va demander grâce… Tu n’auras plus de quoi affronter mes amies…-Après manger ?-Ou ce soir, il faut régénérer la machine…d)Confidences-Allo, maman ?-Oui Greg, enfin, un coup de fil… Les textos, j’ai du mal, je demande à ta sœur…-Ah, mais c’est pratique et le texte reste dispo…-C’est vrai… Alors ma belle-sœur n’est pas trop chiante ?-Non, ça va, on s’entend bien, et puis elle me fait de bons petits plats…-Oh, coquin, tu vas grossir… Vous allez vous balader, marcher un peu ?-Oui, on fait de l’exercice, ne t’en fais pas. Elle a invité ses amies, donc j’ai de la compagnie et ne m’ennuie pas du tout, au contraire, elles sont charmantes et s’occupent de moi…-Bien dis-donc, attention à ta vertu… Si elles sont comme ta tante…-Pourquoi tu dis ça ?-Oh, avant, elle avait une réputation assez sulfureuse, surtout après son divorce. On parlait sur elle, on disait qu’elle chassait les hommes du quartier, qu’elle ouvrait facilement… Enfin, qu’elle était volage… Tu n’as rien vu de suspect ?-Non, elle a un travail qui lui plait, un patron agréable, elles marchent souvent ensemble avec ses copines, sortent au restaurant, font du shopping, comme toutes les femmes que je connais… Et puis elle a son fils et sa famille qui viennent de temps en temps.-Elle a bien un amant… C’est normal à son âge, elle est encore jeune. Elle est divorcée depuis plus de 10 ans… On m’a toujours dit qu’il ne fallait pas laisser les araignées faire leur toile, c’est malsain pour le moral…-Maman !… Au contraire, elle est très prude, enfin avec moi… Elle respecte mon intimité, ma chambre et tape avant d’entrer, ce n’est pas comme toi…-Oh, ça ne t’empêche pas de te tripoter… L’an passé j’ai eu des échos de ton comportement… Enfin, elle m’a rassurée, disant qu’elle se trompait… Que tu étais sage, de ce côté du moins, à part quelques traces sur ton lit… Mais tu es dans une période où mère nature te pousse à t’exprimer… Fais attention avec ses amies, ne leur rejoue pas le même chapitre… Tu risques de fâcher ta tante si tu les regardes d’un peu trop près…-Mais non, maman, elles ont ton âge, une bonne cinquantaine. Certes elles sont restées agréables et savent me parler, on partage plein de choses, elles aiment les plantes, les fleurs, la nature. Mercredi on va faire une grande balade la journée, avec pique-nique…-Bien… Bon, je t’embrasse, ta sœur veut te parler…-Allo ? Oui tu veux me dire ?-Non, rien juste que tu me manques…-Ca ne va pas avec ton copain ?-Si… Enfin, non… Il est chiant… Attends, je m’éloigne… Voilà… Il me veut tout le temps, me caresse partout, à la fin j’en ai marre. Tu as le même âge tu as besoin souvent ?-Ben… Oui… Les hormones… -Et là tu fais comment ?-Je me caresse…-Comme ici alors… Tu n’as pas envie de Véro ?-Non, j’essaie de la voir comme ma tante… Ses amies sont girondes, mais matures aussi…-Ça ne te fait pas peur une mature ?-Un peu… J’ai peur de tout rater…-Oh, il n’y a rien à réussir. Avec Mike, souviens-toi, j’étais heureuse au début… Maintenant j’ai la chatte toute rouge, il n’arrête pas de vouloir me prendre, dans la cave, au jardin, au ciné, même dans les chiottes du lycée, dans sa voiture, dans sa chambre, le matin, le midi, le soir… J’ai besoin d’air…-Et Riri ?-Il est trop jeune, je n’en parle pas…-Ah…-Au fait tu l’as fait avec ses amies ?-Qu’est-ce qui te fait dire ça ?-Tu as l’air de leur plaire, et un jeune homme plein de sève, ça attire les cougars…-Tu es unique… Mais non, je suis tranquille, mais on ne sait jamais… Mercredi on va marcher dans la nature tous les quatre…-Vas-y, profite… Des femmes expérimentées te donneront plus qu’une bécasse de quartier, comme ta copine Ines… Quelle conne…-Tu as raison… Je suis bien avec Véro, elle parle mieux avec moi, on se confie un peu plus… Elle m’a parlé d’elle, de sa vie…-Bien… Dis-donc, tu mûris Greg… Allez, fais-toi une des copines, dans la nature, tu auras certainement l’occasion… Une petite pipe en vitesse… Et puis hop, elles ont vite fait d’écarter les cuisses à cet âge et tu verras c’est un plaisir, elles sont larges et bonnes, leurs chattes c’est du nanan… Attends, faut que je raccroche, alerte maman…Je n’avais jamais autant parlé de sexe avec ma sœur… Certes on a abordé le sujet plusieurs fois, je suis son grand frère, on n’a plus de père à la maison… Maman lui a fait son éducation, enfin, en partie, car avec ses copines, elles ont vite découvert les joies de la puberté… Elle m’a dit quand elle a rencontré son copain et qu’elle a fait l’amour pour la première fois…Elle se sentait femme, elle était si heureuse, qu’elle a partagé avec moi… Je me sentais con, moi qui étais puceau, de trois ans son aîné… Je n’ai rien osé lui demander…Là, elle semble dépitée par la chose… Il en veut le gars… Il faut qu’elle lui parle, elle n’est pas une videuse de couilles…Elle va bêcher un coin du jardin, elle a ramené un petit arbuste et quelques légumes…Elle est belle en pleine action, ses seins ballottent, elle a dû les libérer pour être à l’aise, son tablier la fait ressembler à une mama italienne, avec ses bottines en plastique…Je somnole, regarde la télé, mon smartphone, un texto de ma sœur : « Je vais craquer, il a voulu mon cul, c’est la première fois, maman était en course, Riri chez ses copains jusqu’à demain soir… ce soir il veut m’emmener à un anniversaire, un des copains. Il m’a dit je vais te préparer, on fait l’amour dans ma chambre et il m’a sodomisée…J’ai trouvé ça bon, je n’ai pas eu mal… Il m’a dit que c’était c’est la première fois, et que ce sera meilleur… »« Il aime le sexe, il t’a prise parce qu’il veut te dominer… Il marque son territoire, il cherche à te posséder de toutes les façons. Si tu n’as pas souffert, c’est bon… Beaucoup de couples pratiquent la sodomie, c’est naturel aujourd’hui… Tu as 19 ans, il est temps d’y goûter… »« Merci, mais il aurait pu m’en parler… Je te tiens au courant pour ce soir… J’ai un pressentiment… »« Courage, juste une envie que tu sois avec lui, qu’il te prenne dans ses bras… »Ah, les femmes… Véro a presque fini, le soir tombe… On sonne, mais Véro n’entend pas…-Bonsoir, tu vas bien ? Elle n’est pas là ?-Parfait, merci Marie, elle est au jardin… Les yeux verts m’ont flashé à 180…Cuissardes, jupe bleu roi, manteau jaune, chandail blanc… Une peinture, une gravure de mode…Je les entends parler, Véro n’est pas d’accord…Elle revient dans le salon, tandis que Véro se change dans la buanderie.-Bon, je voulais vous avoir ce soir… Elle n’est pas d’accord… Je donne une soirée, un peu coquine, mais tu as l’air de ne pas avoir froid aux yeux…-Bien… Juste qu’on a prévu quelque chose… Demain c’est mercredi, on part pour la journée…-Je ne peux pas remettre la soirée, nous sommes nombreux, 20 personnes… Beaucoup de belles jeunes femmes, tu serais ravi…-Je t’entends Marie, ne cherche pas à le dévoyer…-Oh, il n’est pas en sucre, j’ai pu constater… N’est-ce pas ? Tu as aimé nos prestations diverses ?-Oui… Je…-Non, tu m’as dit que c’était tarte, que tu avais envie de vomir de voir des seins énormes, des cous trop ridés, des peaux tannées et desséchées… Que tu en avais marre de baiser des cougars… 3 d’un coup s’en est trop… Ce n’est pas vrai ?-Non !…-Tu veux faire la fête ? Alors vas-y tout seul, je ne sors pas ce soir…-Oh, ne te fâche pas, c’est juste l’opportunité… Juste une vingtaine, tu les connais, mais sans les extrêmes… Juste un comité de paroisse…-Tu te fous de moi…-Oui… Mais non, je t’assure, Anita ne sera pas là, ni ses girls… On reste entre gens du monde…. 15 femelles triées sur le volet, 5 mecs, des habitués, nos deux blacks y seront… Le 6ème, c’est lui…-Solange vient ?-Oui… Il y a son copain Ted… Tu l’aimes bien aussi, avec Freddy…-Mouais… Bon je te rappelle…Les yeux me déshabillent, j’y vois vert… Sa jupe est vraiment courte…-Venez vers 22 heures, il y aura un buffet…-OK… Mais pour demain ça tient toujours ?-Sûr, on aura besoin d’air frais, et ne prépare rien, j’aurais des restes, des sandwiches, des bières, de l’eau, tout sera au garage.-Bon… OK à toute à l’heure…-Pour demain, prévoit plutôt onze heures, le temps de charger…Véro me fusille du regard…-Quelle plaie, je ne voulais pas… Enfin ce sera ta première partie… Il vaut mieux que tu sois avec tes rombières… Attention, mets des préservatifs ce soir…-Oh, oui… Qui sont Ted et Freddy ?-Le service sécurité des soirées, plus ou moins amis attitré de Marie, enfin, copains… Marie vit seule…-Elle est canon, elle a du fric ?-Son institut marche bien, elle a du personnel, elle est compétente… Belle villa, voiture de classe, tu l’as vue…-Bon, je vais me doucher…-Ah, ma mère a appelé, tu étais là, ma sœur aussi après…-Oui ?-Je ne sais que penser… Elle se plaint de son copain, de mon âge… Il est toujours collé, à vouloir la sauter tout le temps, et cet après-midi, il l’a sodomisée pour la première fois… Elle en a marre, elle m’a dit avoir le sexe tuméfié…-Quoi ? Ah, oui, je traduis… Oh, un garçon pressant… Je ne sais pas…-Ce soir il l’emmène à un anniversaire… Il lui a fait comprendre que ce sera chaud…-Comme nous ?-Je pense, mais pas au même niveau…-Qu’elle prenne un détox, qu’elle évite de boire, et des gélules lubrifiantes pour le vagin, sortes de grosses gouttes qui fondent lentement et soignent les petits bobos. Quand j’étais jeune, je saignais souvent après un rapport, puis ça passe… C’est le rodage… Autre chose, tu vas être livré à toi-même… N’hésite pas à me déranger si tu veux un conseil… Tu n’es pas trop fatigué par nos exploits ?-Non, ça va aller, encore quelques heures de repos…Elle passe dans sa chambre, je reste sur le sofa, avec mon smartphone. Je fais un texto à ma sœur, en mentionnant ce que Véro vient de me dire…Je deviens un pro de la femme… Ce soir je vais exploser mon compteur… Une douzaine de filles, inconnues, charmantes, venues pour se faire sauter… Des noirs, des mecs plus âgés…Je vais voir ma tante et sa cohorte en pleine action avec des inconnus, se faire baiser devant moi… J’appréhende un tantinet… Est-ce que je serai à la hauteur ?e)Soirée coquineLa villa est magnifique… Un immense salon, des chambres au même étage et au premier. Au-dessous le garage immense, des pièces, ateliers, bureaux… La piscine est à l’étage, au niveau du salon et de la chambre parentale…Nous trouvons un vestiaire, puis des canapés, des tables, des bouteilles, des boissons light, des sushis, un tas d’apéritifs… Marie nous reçoit avec le sourire, la soirée commence par un vin chaud… Des canapés immenses, nous faisons le tour avec Solange et Véro… Des sourires, Solange m’a longuement embrassé, je cherchais les toilettes… Elle est nue sous sa robe, ça je l’ai aperçu et j’en ai eu des frissons…Nous goûtons à tout, en suivant la musique, Salsa, moderne et ancien, quelques rocks… Je remarque une amie de Marie, très belle, des yeux faits, une robe en lamé doré. Elle a beaucoup de classe, elle discute parmi un groupe d’hommes et de femmes dans la trentaine…Marie me sourit de loin, puis vient à mes côtés…-Ne soit pas timide… Si elle te plaît… Elle est venue pour ça aussi… Comme toutes… Je vais te dire un truc, je ne te draguerai pas ce soir, ta tante m’a saoulée… Demain, on sera entre nous, elle sera plus permissive… Je retiens ta première danse…-D’accord… -Au fait, elle s’appelle Katia, elle travaille avec moi. Les mecs sont des copains, et les filles aussi, des relations de travail qui aiment s’amuser. Tous ici sont clean… Alors tu peux foncer… Juste la femme là-bas, qui discute avec la brune en robe décolletée.-Oui ?-Ce sont des gouines pures et dures… Ne soit pas surpris si elles refusent de te suivre…-Comment on fait pour inviter ?-Oh, pardon, je manque à mes devoirs, tu es le seul nouveau… On est courtois, on danse ou on offre un verre, on parle en tête à tête, on dit les choses simplement, comme « On peut s’isoler ? »… Ou autre phrase directe… Tu peux inviter plusieurs femmes, il y a des demandeuses et surtout du surnombre… Tu vois le couple dans le coin, ils ont commencé. Ils discutent, ils vont rester ici, discrets, tu peux regarder, mais c’est malsain de faire le voyeur, il vaut mieux attendre, et quand ils ont fini, te présenter sans les déranger dans un moment inapproprié, et dire quelque chose comme « Je peux me joindre à vous ? ». D’autres vont aller dans les chambres, pour un peu d’intimité. Les femmes ne se rhabillent pas, il y a des peignoirs dans toutes les chambres, les hommes c’est pareil… Quand tu as un peignoir, c’est que tu as eu une relation. Si tu as des questions, viens me trouver… Bonne soirée, éclate-toi…Véro a disparu, je me rapproche du groupe…-Tiens ! Un nouveau…-Bonsoir Katia… Je suis Greg, un ami de Marie…-Oh, bonsoir… Je te présente Edwige la blonde, Gwen la brune, Marc le beau brun, Steeve le grand blond…. Ah, puis Jamie, notre mascotte, elle travaille avec nous…-Gwen et Edwige aussi ?-Parfaitement, l’institut est très demandé et très côté… Nous sommes masseuses aussi, pas que esthéticiennes… Si cela te dit, viens à l’institut, maintenant que je te connais… Tu habites par ici ?-Non, vacances, hélas je suis vers Lyon…-Belle ville… Ca te dis de danser ?Je la suis sur la piste, pas besoin de ticket, le tempo est rapide, mais les gestes se font discrets… Elle vient dans mes bras, son baiser est torride, elle est aussi grande que moi, son ventre pousse le mien, mon sexe devient dur, elle est en train de me proposer quelque chose… Elle prend ma main, et m’entraîne vers le fond, contre la baie vitrée, dans la pénombre discrète…-J’aime ce coin isolé, on peut s’y dissimuler… A moins que tu ne préfères une chambre, on les garde pour les groupes…-Ca ira Katia…-Viens contre moi, prends-moi dans tes bras, regarde je suis nue sous ma robe, mets-toi à l’aise…Elle fond contre moi, à moitié dévêtue en quelques secondes, une poitrine délicieuse, elle m’aide à enlever mon pantalon, puis me met nu comme une pro… Elle prend une posture provocante, assise en tailleur, cuisses écartées, un appel direct…Sa chatte épilée s’ouvre sous ma main, ses seins parfais sont fermes et s’écrasent contre ma poitrine, elle glisse comme une chatte, soupèse ma bite, la serre dans sa main…-Tu sembles en forme… Viens, je vais de faire du bien…Elle se penche tête-bêche, commence à me sucer, je fonds d’un seul coup quand elle s’ouvre pour moi, comme une fleur… Je plonge entre ses cuisses, son minou est doré, rose, aux mille saveurs… Je suce, lèche, titille, insolent, je commence à comprendre, je vais à en mourir… Des filles de mon âge, juste quelques années, des libertines, habituées au sexe dès leur adolescence, comme ma sœur… Elles n’ont pas froid aux yeux, vivent avec le sexe, par le sexe, pour le sexe, en font une distraction, un principe. Pas de sentiment, parfois si, un regret… Et s’ils se revoient, alors naît l’aventure, elles deviennent exclusives, jalouses, la passion les emporte… La femme moderne est ainsi faite, elle vit sa liberté, parfois jusqu’aux extrêmes, goûte le suc de la vie, fait le tour de ses rêves, puis un beau matin, elle se rend à l’évidence, son amour est trop fort, elle range ses souvenirs, efface ses fantasmes, et pense à l’avenir…Ces jeunes femmes n’ont que peu de limites, goûtent à tout au plus tôt, Katia est une princesse, un joyau rêvé que je n’aurais jamais osé abordé… Mais elle est bien réelle, elle suce mon sexe, m’offre son intimité, sans arrière-pensée qu’un moment de plaisir…Elle commence à vibrer, s’ouvre complétement, enroule ses cuisses autour de mon cou… C’est un havre, un bouquet de senteurs, de parfums, je délire… Sa main gâte mon sexe, ses lèvres viennent sur les miennes, ses baisers sont des fleurs, j’embrasse ses tétons, elle grogne de plaisir, grimpe sur moi, face à moi, dirige mon sexe et s’embroche sans une hésitation… -Oh, oui, c’est bon… Tu me plais… Tu es viril… J’adore ton parfum…Je sens comme un fourreau, un tendre nid douillet qui me berce en cadence, m’emporte sur un nuage, je vais crier de plaisir… Elle ne s’arrête plus, son bassin ondulant, les mains sur mes épaules, nos sexes qui clapotent par nos sucs inondés…C’est elle qui vagit, en prenant ce qu’elle cherche, se tordant dans tous les sens, avançant son bassin, puis revenant, et plus vite et plus fort… Elle feule maintenant… Ecartelée face à moi… Je l’aide à s’empaler, je l’aide à me prendre… Je vais jouir encore, encore et encore… Je frise l’accident…Ses baisers sont des bonbons, elle me laisse respirer, je reprends le contrôle, c’est vraiment une experte… Elle me prend tout entier, coulisse en fermant les yeux, savourant mon pieu, bute contre mon pubis, elle est trempée de mouille… -Tu sens comme j’ai envie de toi ? Tu m’excites, tu es doux, gros, je te sens impatient, je te sens hésitant, tu manques d’expérience… Viens, allonge-toi sur moi, prends-moi avec tendresse… Fais-moi l’amour avec tes vingt ans, comme si j’étais pucelle… Emporte-moi dans ton monde, fais vibrer tout mon ventre, comme s’il découvrait le plaisir du sexe, d’un sexe masculin, un jeu d’adolescents, aux portes de l’extase…Elle écarte ses cuisses comme une danseuse, je me love contre elle, dans ses bras, elle est nichée dans les miens, je sens sa chatte s’ouvrir, elle guide mon sexe, qui la pénètre naturellement, profondément, entièrement, elle est étonnante… Je la prends sans façon, plonge et vogue sur les vagues… Dans cette intimité si pure, si nouvelle…On commence un ballet, un duo insolent, pervers, débridé… Elle se contorsionne, s’offre, se refuse, revient, je soulève ses cuisses et la prend jusqu’à la garde, accélère mon rythme, elle se met à crier…-Oh, oui ! Tu es en moi… J’aime quand tu me serres dans tes bras, j’aime quand tu me prends comme un jeune chien fou… Oui !… Possède-moi… Ondule-moi… Fais-moi mourir de plaisir…Je la prends en ciseau, la pousse encore plus loin, la serrant contre moi, elle est submergée de vagues de plaisir, elle s’est écartelée, faisant le grand écart, jouissant sans relâche…Je la lutine comme un malade, sans prendre de gants, elle griffe le cuir, masturbe son clitoris, vit son plaisir à fond, qu’elle extériorise et commente allègrement, délirante et offerte…J’empaume ses seins durcis, excite les tétons, elle jouit, jouit, jouit encore, déversant un torrent de paroles, ondulant son plaisir, griffant mes épaules… Elle est trempée de cyprine, que rejoint ma semence, je viens d’exploser…Au bout de quelques minutes elle reprend vie, entre mes bras…-Tu aimes les femmes, toi… J’ai envie de te revoir plus tard… Edwige, elle, est plus sentimentale, vas la rejoindre au bar, dis-lui que c’est moi qui t’envoie. Si elle est prise attends-là en lui faisant un signe… Ca te dit ensuite de venir avec nous, en fin de soirée vers une heure ? Nous serons toutes les quatre dans un salon privé, tu sembles apte à supporter l’effort…-Oui, je veux bien… J’ai aimé prendre tes vingt ans…-C’est gentil, j’ai aimé ta fraîcheur, apprécié ton ardeur, mais il faut que je participe, que j’anime… Je suis la fille de Marie…Elle se relève, prend un peignoir, et retourne au salon…Je passe un peignoir blanc, très court… Je lis le brocard « Marie K. Institut »Je cherche Edwige près du bar, elle est assise avec un gars, du côté tranquille du salon… Un autre couple flirte de l’autre côté de la table basse, ils encore habillés…Edwige a l’air de discuter, de faire connaissance, ils échangent un instant, elle lui sourit… Puis soudain, elle se penche vers lui et l’embrasse, son peignoir s’ouvre, il la prend dans ses bras, la pose contre l’accoudoir, l’allonge sur le sofa, face à lui…Il quitte son pantalon, sa chemise… Il revient l’embrasser tendrement, elle lui rend son baiser, se fait chatte, empoigne son sexe, le masturbe un moment, il a glissé une main sur la poitrine, une autre entre ses cuisses, elle ferme les yeux, savoure la caresse… Elle ondule contre lui, sans lâcher l’attribut. Elle s’est écartelée, s’offre, lui demande de venir, de remplacer la main… Mais il insiste, de son doigt fureteur et coquin qui embrase son ventre et son intimité… Elle se laisse masturber, laissant monter son plaisir, elle se donne à lui, soumise, pantelante…Le doigt plonge en cadence, ressort honorer son bouton d’amour, elle tremble, et se relâche, soulève son bassin, ouvre plus grand ses cuisses… Je vois trois doigts entrer, elle gémit plus fort, parle doucement, vocifère en cadence… Le couple les regarde, arrêtant leur action, la femme s’empale sur son amant, elle nous tournait le dos, c’est Marie qui jouit regardant le spectacle… Il enserre ses seins, elle le chevauche plus vite, plus fort, puis se relâche un peu… Ils regardent de nouveau leurs vis-à-vis, se caressent mutuellement, échangent des baisers passionnés…Sur le sofa d’en face, lui a changé de place, s’est placé entre ses cuisses…La langue la titille, un doigt vient se glisser, Edwige se soulève, un cri me parvient, elle s’offre à lui, ouverte…-Viens, vite, prends-moi…Il approche son sexe, la possède d’un coup sec, sans appel, elle laisse échapper un cri, puis des râles, le prenant par le cou, se tenant à l’accoudoir… Il la baise plusieurs minutes, lentement, doucement, elle change de position, elle s’offre en levrette, arc boutée sur l’accoudoir, elle le reçoit en gémissant… Elle m’aperçoit, griffe le cuir du sofa, je lui fais un signe, elle semble me répondre, escort tuzla mais c’est juste qu’elle jouit sous les coups de boutoir de son partenaire…Puis elle se tourne et monte sur lui, conquérante…Marie a gravi les montagnes, il la sodomise, elle offre son anus et trépigne sous les assauts incessants qu’il lui distille… Une mitraillette… Je comprends que Katia ait des besoins extrêmes…Elle est malmenée, bousculée, renversée, elle s’accroche au canapé, se cale dans les coussins, soulevant son bassin vers lui, sentant venir son orgasme… Elle se masturbe en même temps, la chatte grande ouverte, son clitoris énorme et rougeoyant, le membre qui la défonce sans ménagement, elle atteint le sommet, hurle sa jouissance dans un cri de félin, lionne ou tigresse… Deux bêtes en rut…Il se libère enfin, épuisé, sans forces, trempé de sueur… Le sexe ressort, petit, flasque…Elle se relève, le prend dans sa main, et le suce longuement… Il passe une lingette dans la chatte luisante, dans l’anus encore béant, épongeant la semence…Elle l’embrasse avec un élan de tendresse, puis elle remet son peignoir et ils s’approchent du bar main dans la main…Edwige jouit encore, éblouie par la forme de sa patronne qui se fait lutiner, étendue sur le sofa, soumise, abandonnée, elle ouvre la bouche pour crier son plaisir à chaque pénétration… Puis ils rechangent de position, elle lui offre son anus, tout humide de mouille, prêt à être consommé… La pénétration est aisée, rapide après quelques caresses, puis se fait plus virile et la porte à l’extrême…Elle jouit de belle façon, elle semble aimer ça, vibrer autant, à l’approche de la fin…Il éjacule en plein sommet de leurs ébats, se raidissant d’un coup et lui donnant des coups de reins virils qui la clouent au sofa…Elle reste sans bouger allongée sur l’accoudoir, la tête sur le coussin. Lui se rhabille, nettoie son instrument avec une lingette, qu’il jette dans un panier avec le condom… Il remet un peignoir, range ses affaires et se dirige vers le bar, sans un regard pour elle…Je m’approche, elle me sourit…-Tu es le voyeur de service ?-Non, un ami de Marie… J’ai rencontré une de tes amies, Katia, qui m’a dit « Dis-lui que c’est moi qui t’envoie… »-Oh, c’est adorable… Tu vois je viens de baiser, je suis vannée, il m’a épuisée… Pas de belle façon, mais on ne peut tout avoir… Certains ne prennent pas de gants et viennent se vider dans tout ce qu’ils rencontrent…-Pas très galants, ni romantique, il ne t’a pas offert à boire…-Je te le concède… Tu veux quoi toi ? Mon cul, ma chatte ? J’ai soif.. Tu peux me chercher un verre, je vais me faire belle pour toi…Je reviens, elle n’est plus sur le sofa… Deux verres à la main, j’ai l’air fin… J’en pose un et m’assieds, il y a encore des traces humides de leurs ébats… Je sirote le whisky…-Alors beau brun, on est perdu ?-Heu, non, j’attends Edwige…-Oh, elle est à la salle d’eau… Elle ne va pas tarder…-Tu es Gwen, on s’est vus au départ…-Ah, oui, exact le copain de Marie… Je vois que tu as trouvé chaussure à ton pied…-Toi aussi…-Oui, le gars qui était avec nous au début, Marc…-Oui, je vois… Je cherche un cœur à prendre, ou plutôt, un corps… Tu veux l’attendre vraiment, j’ai envie d’un vrai homme ?-Bien ce ne serait pas correct… Katia m’a dit qu’après on pourrait s’isoler à plusieurs vers 1 heure…-Ah, si elle a prévu et si elle t’a invitée… Miam… Tu lui as tapé dans l’œil…-Salut, merci pour le verre, j’ai rencontré des amies… Excuse mon retard…-Je lui faisais la conversation, il avait l’air perdu…-Oui… Il ne fallait que je tarde trop alors…-Et si tu…-Oui ?-Tu nous inviterais toutes les deux ?-Je… Oui…-Tu es nouveau ?-Oui… N’aie pas peur, on ne mange pas les sexes on les recrache…-Je l’ai mérité…-Tu aimes plaisanter et tu me comprends… Je vais insister alors… Viens, prends-nous toutes les deux…-OK, on va où ?-On va monter, pour être à l’aise, suis-nous… Ca ne te fais rien Ed ?-Non… Avec toi j’aime bien… Et puis il a l’air sympa ce Greg…La chambre est vide, on entre et on ferme la porte à clé…-Tu veux un apéro ?-???-Ca te branche de regarder deux femmes ? J’ai envie de t’offrir un spectacle…-Heu… Oui… Merci…-Tu ne fais que regarder, tant qu’on ne te le dit pas, OK ?-D’accord… -Si tu ne peux te retenir, tu peux te satisfaire devant nous, on a l’habitude…Elles se mettent face à moi et entament une danse, s’embrassent goulûment, tout en se caressant, les seins, puis se sucent les tétons… Leurs peignoirs s’entrouvrent…Leurs corps se frôlent, se touchent, s’entremêlent… Baisers tendres, caresses, ouvrant leurs cuisses, leurs corps se dévoilent enfin totalement, les peignoirs tombent à terre… Là, je fonds…Deux vestales, magnifiques, des corps superbes, des seins pleins, bien dessinés, des trésors que l’on a envie de prendre dans ses mains, de sucer… Leurs ventres sont plats, pubis ouvragé, ticket fin et frise en v, chattes lisses, on voit qu’elles soignent leur image… Katia est la brune sauvage, cheveux mi-longs, Gwen, la blonde aux cheveux courts… Grande, élancée, sculpturale…Elles ondulent comme des lianes, s’enroulent sur le lit en me dévisageant, je tiens bon, droit comme i…Elles m’offrent un soixante-neuf torride… Les langues sont voluptueuses… ca lèche, suce, titille… J’entends leurs souffles, leurs râles, elles commencent à sentir les effets…Elles changent de position, l’une sur l’autre, en ciseau, reviennent s’emboîter, se lèchent à perdre haleine, jouissent librement, mutuellement… Et puis vient le combat, plus viril, luttant comme des chiennes, utilisant leurs muscles, se battant en douceur, s’étouffant en serrant le cou de leurs cuisses fines… Etranglée, le combat est arrêté, elle vient voir son amie, se fait projeter, immobiliser, elle gémit d’un coup porté au ventre, Edwige a remporté l’affaire, Katia est sous elle, les bras en croix…Elles s’embrassent alors, longuement, un baiser merveilleux de tendresse, leurs langues se cherchent, leurs corps se replient, elles s’emboîtent et se lèchent, jouissent chacune de l’autre, et me font signe de venir…Je me jette au milieu, leur laissant l’avantage…. La plus rapide s’empare de ma bite et la serre, l’autre ouvre sa bouche, et me fait un écrin, je pousse doucement, elles me sucent en cadence, se partageant l’objet… Je cherche avec mes mains, trouve des cuisses ouvertes, remonte vers le pubis, reconnais la taille, ouvre ma main, elle est humide, mon sexe est énorme, lourd et dur, droit dans sa bouche… Edwige, s’accroupit et se pénètre en glissant mon sexe dans chatte en chaleur…Gwen prise de vitesse, s’accroupit sur mon visage, je ne peux que découvrir un sexe d’exception, une grotte trempée, ma langue s’y perd, je suce, lèche, savoure, elle se laisse aller, savourant ma caresse… Ed se balance, se pénètre en cadence, embrassant son amie, caressant sa chatte, je pose mes mains sur les seins bondissants… Que c’est dur !… Ils explosent de vie, je malaxe sans m’arrêter, elle jouit…-Oh, oui, coquin, tu as trouvé une faille dans mon armure… Continue j’adore…-Vas-y, c’est vrai, elle jouit par ses seins… Et moi grâce ta queue, tu es gros maintenant… -Prends-nous à tour de rôle, j’ai envie de te sentir en moi…Elles se tournent et m’offrent leurs derrières, en position… Chattes proéminentes, des fesses adorables, j’ai envie de ces deux culs magnifiques, je me mets à bander de plus belle…Je prends Gwen en premier dans cette position, côte à côte, elles se caressent, s’embrassent… Je les masturbe, les baise en même temps, chacune à son tour, chacune jusqu’à jouir…-Oh, oui… Qu’est-ce que tu en dis ?… Prends mon cul maintenant…-Reste avec elle, je vais me goder un instant, tu viendras me finir…Gwen sort un beau gode vert du tiroir du chevet, et l’introduit dans la chatte, en salivant… Il est énorme… Le moteur tourne, elle se laisse aller en arrière, cuisses écartées, béate…-Viens, occupe-toi de moi… Je veux te revoir, tu es si tendre… Prends-moi avec tendresse, fais-moi grimper aux rideaux, donne-moi ta jeunesse. Katia m’a dit qu’elle avait décollé avec toi…Ed se met en levrette, je la prends lentement, puis s’ensuit un enchaînement de positions diverses, que je découvre, jouissant au maximum de mon dard, feulant son plaisir… Gwen se laisse transporter, commence ses gémissements, change souvent de posture, tout en se masturbant…Ed est au supplice, je la prends en ciseau, elle vient de jouir, je lui ai massé les seins, trituré les pointes, puis caressé la chatte, pénétré son derrière, la laissant sans voix…-Oh que tu es bon…. Viens encore me prendre, elle est dans son monde, laissons-la un instant…Je replonge dans la soie, un nectar enivrant, où chaque progression me font fermer les yeux, chaque pénétration nous font gémir ensemble. Elle s’allonge sur le ventre, en écartant les bras, les fesses un peu bombées, le sexe qui m’attend et lorsque j’ouvre la grotte, la chambre aussi pivote, et se met à danser. Nous sommes en symbiose, parfaitement synchronisés, nos plaisirs se confondent, nos délires aussi… Je n’ai jamais rêvé plus doux accouplement, je pensais à ma tante, avec ses formes pleines, ses seins affriolants aux tétons érigés, sa main qui masse mes coucougnettes, et me fait délirer, sa bouche si vorace, et sa chatte inondée d’une douceur infinie où je plonge mon dard, en la sentant jouir…Avec Edwige, je ressens autre chose, je monte sur un nuage, avec un de mes anges… J’avais vu des copies sur les sites dédiés, mais jamais si parfaite, jamais si sensuelle, qu’un seul de ses regards me fait m’émerveiller, et ressentir mon sexe se gonfler de désir…Son charme, cette douceur dans ses yeux, sa démarche, on dirait qu’elle plane, ondulant son bassin, je rêve de la saisir, me suspendre à ses lèvres, se sentir sa chaleur, de savourer ses formes, de la serrer sans fin et goûter ses trésors en l’entendant gémir…Mais le pire de tout c’est qu’elles sont trois vestales, plus Marie intouchable, que choisir serait une torture, un acte trop cruel…De ces vacances, je retiendrai une chose, en quelques heures, j’ai appris à draguer, à séduire, à baiser, d’abord par des matures, je deviens leur fantasme le temps d’une soirée, puis continuant l’aventure, je me trouve désiré par chaque participante, des jeunes femmes en chaleur, venues se libérer, prendre amant éphémère, un amant de 20 ans qui les prend pour le sexe…Gwen, les yeux révulsés se gode en jouissant, écartelée, sans gêne, la chatte béante, l’anus dilaté, elle bouge dans tous les sens, cherchant le nirvana…-Oh, oui !-Attends, tu vas la prendre avant qu’elle s’envole, c’est magique, tu vas la voir gicler, elle devient fontaine parfois dans son délire…Gwen a entendu et m’offre son calice, allongée sur le dos, s’occupant de son derrière… je n’ai pas de mal à la pénétrer, elle coule de mouille, de sécrétions diverses… Je plonge en elle et aussitôt j’entends les propos singuliers…-Oh, oui… C’est bon, viens, prends ma chatte… Plus fort… Baisez-moi tous les deux…Alors je m’éclate en elle, Ed m’accompagne, aide son amie, l’assiste et la travaille, caressant sa poitrine comme elle aime, puis son clito qu’elle câline entre ses doigts experts…Je continue à la défoncer, accélérant encore, la poussant de plus belle, elle ouvre ses cuisses, relève ses genoux, pose la main de son amie sur le gode malmené, le remue en tous sens, elle gémit, râle, alors je la possède, elle part, ça y est, s’envole, tremble de toutes parts. Un puissant jet liquide s’envole sur le lit, puis une second et un troisième, en de longs soubresauts, qui semblent la contrarier, cette extase extrême me comble de plaisir. Voir ce corps magnifique, ainsi se libérer, expulser son nectar, choyée entre nos mains, me comble et me ravit… Ed s’y met aussi, l’embrasse à pleine bouche, vient m’embrasser, pose ma main dans sa chatte, je dois la masturber…Je mets trois doigts en elle, sentant mon plaisir venir, je les prends toutes les deux, Ed se met à jouir, Gwen explose un dernier orgasme, hurle sa jouissance, des cris aigus, de femme libérée…J’explose dans son vagin en feu, elle est soulevée de soubresauts, Ed lui enlève l’appareil, se le rentre en elle, se met à délirer…-Oh que c’est bon d’avoir ça dans le fion !… Continue de me branler, je n’ai pas fini avec toi… Je veux sentir ta bite, je veux jouir comme elle, je veux que tu m’emportes, m’inonde de tendresse, et me fasses un enfant… Tu es doux, tu es tendre, tu es viril et endurant, tu nous excites, tu sais nous caresser, nous porter au supplice… Tu donnes sans compter…Tu embrasses divinement, j’ai le goût de tes lèvres sur les miennes, je veux dormir avec toi cette nuit, je veux que tu me prennes une fois endormie…On reste un long moment, enlacés tous les trois, sans bouger, juste quelques baisers, des gestes de tendresse, je me sens transformé….L’interphone nous réveille, elles ont dormi aussi… Marie a besoin d’elles…Je suis seul, étendu dans le salon d’en bas, sirotant un coca, perdu dans mes pensées…-Bonsoir jeune homme, on ne dérange pas ?-Mais non, belles inconnues, je noyais mon chagrin…-Un chagrin à ton âge en pleine soirée de sexe ? Un ennui passager, une panne peut-être après t’être surpassé ?-Non, je pense être en fonction, je n’ai pas essayé, il est vrai que certaines élèvent le niveau…-Que diable, jeune ami, tu parles à mots couverts, tu vois nous on s’ennuie… Nous sommes deux lesbiennes, avons papillonné ce soir dans toute l’assistance, testé nos compétences, échangé plusieurs fois… Nous sommes un peu à part dans cet aéropage, le tour est vite fait. S’il y a la qualité, il manque d’autres charmes, nous pensions dériver, s’allier au masculin, pour vivre notre soirée dans ce club libertin… Alors, que nous pensions rejoindre d’anciens amants croisés dans les couloirs, on nous a parlé de vous, évidemment en bien… Vantant tous vos mérites, votre timidité, qui s’avère touchante en ces temps libérés… Alors nous sommes prêtes à tenter l’expérience, elles ne tarissent pas d’éloges sur vos performances, votre gentillesse et votre dévouement, on aime la patience, la douceur, la finesse, mais on ne refuse pas des assauts athlétiques, qui viendraient provoquer nos envolées lyriques…-Elle veut dire simplement que l’on aime le sexe, que l’on vient que pour ça, se donner pleinement, regoûter aux plaisirs des rapports hétéros, avec toutefois une certaine limite, on aime le bienséant, sans douleurs, ni outrages ou avilissement…-Oh, merci, c’est ma fête ? C’est vrai, je découvre la vie dans votre belle ville, surtout ses habitantes, avec ma tante, ses amies, Marie, les filles de l’institut… J’ai sans doute progressé en deux jours, j’ai pu le constater et c’est avec plaisir que je vous suivrai… J’ai attiré vers moi, quelques concupiscences, j’ai dû apprendre vite, performer, me dépasser chaque fois, pour leur plus grand plaisir. J’étais en train de ressourcer mon physique, j’espère vous donner ce que vous demandez, partager la tendresse, vous donner ma jeunesse, calmer ma libido, impatiente déesse qui fait de mes rencontres des combats intérieurs… J’aime le féminin, la douceur et la grâce, j’aime réconforter les cœurs malmenés, j’aime puiser en vous le suc de la féminité, faire de vos fantasmes un souvenir lointain. Je suis à vous servile, montrez-vous sans détour, j’aime aussi les délires, j’aime apprendre sans cesse, vos intimes secrets et vos pensées ultimes…-Tu nous mets l’eau à la bouche…-Tu avais une chambre ?-Oui, la première au premier…-Alors viens, je commence à couler, viens, on va t’aimer ensemble, on va trouver aussi, de quoi de ressourcer, au comptoir, il y a des potions magiques prévues à cet effet…f)Karine et PriscillaElles ont 35 / 40… De belles plantes, les yeux francs, sveltes avec quelques signes d’âge… Marie doit les soigner…-Je suis Karine, j’ai 36 ans, Priscilla en a 38, nous sommes ensemble depuis 4 ans. Nous aimons cette vie, partager notre intimité, mais nous ne nous affichons pas comme certaines dépravées. Notre homosexualité découle de mauvaises expériences, maris, tromperies, mensonges, divorce, et la vie nous apprend qu’il existe des exceptions, je ne dis pas des tares, si nous sommes ainsi, ce n’est pas d’origine, nous étions deux épouses, et nous voici amantes… Oui, nous cherchons autre chose, mais bien sûr tu t’en doutes, si nous sommes féminines, nous avons les mêmes besoins qu’avant, et même si on triche, même si on retarde, il nous faut revenir à nos premiers tourments, le membre masculin, les bras et les ardeurs, dont l’absence torture, malgré les artifices conçus à cet effet…-Voilà, nous t’avons tout dit, ou presque, nous sommes là pour le sexe, le tien en particulier, simplement, sans amour, juste pour nous satisfaire. Elles entrent dans la chambre, le lit a été fait, le gode a disparu, les verres sont remplacés…Karine fait le tour, ouvre le tiroir magique, regarde les jouets, comme un inventaire… Prisca, s’approche en traître, me tend un verre d’eau…-La potion promise, un effet étonnant qui dure assez longtemps…-Merci…Je bois à petites gorgées, Karine revient vers nous, je repose mon verre… Mon peignoir tombe à terre, les leurs sont écartés, elles prennent un apéro, juste un échauffement, leurs mains ont disparu se collant l’une à l’autre, leurs lèvres sont rivées, leurs ventres sont collés…Le baiser est profond, je détaille leurs corps…. Karine est la plus grande, blonde, coupée court au carré, des yeux bleus pervenche, une peau légèrement cuivrée, des seins dans la normale, blancs, adorables… Son pubis est glabre, ou les poils sont absents, le pubis est celui d’une enfant impubère.Prisca est plus petite, châtain au teint mat, des yeux noirs brillants… Quelques formes se dessinent, ajoutant à son charme, ses seins sont épanouis, se balancent en cadence, son pubis est rasé, en triangle d’amour qui n’est pas interdit…Je sens l’excitation par ces corps magnifiques, la femme dans sa plénitude, pleine d’ardeur, d’expérience du sexe… Je découvre avec joie leurs mains qui s’envolent, leurs premières caresses, je vois Prisca enserrer son amie, une main sur les seins, l’autre sur le ventre…Karine qui ondule et lui renvoie la balle cherchant l’intimité, la source infernale…Elles se tournent, se savourent et les premiers soupirs arrivent à mon oreille, les bouts des seins s’érigent, les ventres se frottent, les peignoirs sont tombés… Karine est dans son dos, les deux mains sur les seins, Prisca tourne la tête et quémande un baiser, de sa bouche entrouverte…La brune masque son jeu, Karine jambes écartées se dandine soudain, les mains de son amie sont glissées dans son dos, une dans son intimité, l’autre sur le ventre, attise son désir, remonte au plus haut et atteint la poitrine, elle ferme les yeux, savoure les caresses, écarte un peu les cuisses, la main a gagné, sans doute les doigts aussi, elle se fait masturber…Ça commence à se voir, je ne peux me cacher. Mon sexe s’est relevé, devenant un témoin pour leurs yeux éblouis…-La magie a fonctionné Karine. Regarder et entendre et hop l’homme est affiché, la hampe, l’étendard, prévient de son état, excité, il attend, prêt à nous emporter…Elles s’allongent alors sur chaque bord du lit, je peux m’étendre entre elles, la bite droite comme i…Leurs mains s’y rencontrent, je sursaute… Deux mains sur mon pieu ? Je n’avais pas vu ma forme ! Je pense que la potion a joué son rôle, j’ai pris cinq centimètres depuis l’heure précédente… Il est énorme, grossi, je comprends leurs regards…Le désir pointe, à force de caresses, elles ouvrent leurs cuisses, m’offrent leurs intimités, je ne peux qu’obéir et chacune une main, je ressens la douceur de leurs chattes détrempées… J’essaie de faire en sorte de rester concentré, ce n’est pas très facile de me synchroniser. Au bout de trois minutes, j’entends la voix des anges, elles se relayent sur mon membre érigé, ondulent leurs bassins quêtant plus de plaisir…Peu à peu, je précise, clitoris excités, tournoyés, elles se massent les seins, il me manque des mains…Puis je sens une bouche, Prisca n’a pas résisté, mon sexe est avalé, mes testicules soupesés, malaxés… Chose pour moi inconnue, elle ne peut me prendre entier… Sa langue m’excite de plus belle, je vais calmer sa caresse… Elle sourit, sa main rejoint la mienne dans son intimité, un duo de caresses, je la sens onduler, et je la vois jouir, entend ses râles, Karine l’a remplacée, la bouche est plus active, douce, s’arrête, reprend, je suis la cadence… Elle fait comme Prisca, ne peut pas m’emboucher… Je me tourne vers Prisca, arrive entre ses cuisses, elle n’attendait que ça, ma langue l’électrise… Karine m’a suivi, et sa bouche s’active, elle jouit de mes doigts, gémit sous mes caresses, replie ses genoux, quémande…-Vas-y, à elle… Suce son bonbon d’amour…Je plonge entre ses cuisses et ma langue trouve un coin de paradis… Parfums, douceur, clitoris érigé, un petit dard tout rouge, sorti de son cocon…La grotte est entrouverte de désir contenu, à l’intérieur de la vallée offerte, ma langue et les lèvres entament un festival, elle jouit doucement, embrassée par Prisca qui l’accompagne dans ses émois…Je suis à plat ventre, libre de mouvements, j’approche ma tête des leurs et partage un baiser à 3 bouches…Karine est électrique, elle nous serre contre elle, me demande de venir, ouvre ses cuisses… Je m’avance doucement, la source est magnifique, mon sexe glisse et s’arrête… Elle se soulève et se prend, criant de plaisir, alors je la lutine, un ballet incessant, montant en puissance, jusqu’au premier orgasme.Prisca caresse mes bourses au rythme de mes assauts, elle me tend ses lèvres, tuzla escort caresse les seins de Karine qui jouit de plus belle, faisant le grand écart, ouvrant son entrejambes pour me sentir plus fort… Alors je la tenaille, la prend avec passion, lui donne un coup de grâce, elle s’envole à nouveau, délirant un orgasme, libérée par mon sexe. Je me retire doucement, je ressens une douleur, elle s’éteint, repliée, la tête entre ses mains…Prisca, me sourit, je me suis allongé, sa bouche reprend mon arme, savoure et me ravit…De nouveau plein gaz, elle m’enjambe et se laisser glisser, dirigeant la manœuvre, cuisses écartelées…C’est un nouveau pari, un deal que j’ai accepté… Une nouvelle épreuve pour ma virilité.Elle me glisse dans son fourreau, des papillons s’envolent, sa voix retentit, elle ondule lentement se prenant en tendresse, je m’envole avec elle…Karine a sorti un jouet, compagnon de plaisir, et nous accompagne dans notre envolée.Prisca, la belle brune, est sensible partout, elle fulmine, gémit, se tort comme une liane, qui s’accroche à mes épaules, griffe mes pectoraux, mordille mes oreilles, appelle son amie…Trop excitée sans doute et voulant partager, elle se dédouble, nous embrassant tour à tour, fondant dans nos bras, m’offrant son puits d’amour, présentant son fessier…Karine prend l’appareil, l’approche de sa chatte, vibre le clitoris, ferme ses yeux de plaisir, puis pénètre son vagin, règle les moteurs, et se met à gémir en enfonçant le sexe en plastique…Prisca se soulève en cadence, prend le meilleur sur moi, guide sa jouissance, je suis aspiré, torturé, mis en pièces, de véritables lionnes sont venues me manger…Chacune dans son coin, se servant de mon sexe, de mes mains, de mes doigts, de ma langue, je suis partout, je double l’appareil prend Karine par derrière, elle s’envole pour de bon, tremble de toutes parts, jouit comme un démon, je jouis épuisé, mené au bout du bout, plongé dans son anus, une fin de folie…Prisca n’a rien raté, a joui comme nous, se servant de l’engin, juste après son amie, je peux la pénétrer. Elle part comme elle, jouit intensément, sentant aussi Karine, les doigts dans son vagin, remplaçant le plastique, la portant au supplice et à la délivrance…Elles retombent sur moi, m’entourent de leurs bras, viennent se pelotonner, ivres de fatigue, on s’endort un moment, digérant ces instants, nos sexes tuméfiés, offerts sans retenue, leurs cuisses écartées, je rêve de leurs corps…-Mon dieu, il est tard… On a dormi longtemps… Il est près de 2 heures, tu avais rendez-vous ?-Elles ont dû commencé… Un anniversaire privé pour l’institut Marie K.-Ah, oui… Ted et Freddy doivent y assister…-C’est qui ?-On t’a parlé de nos anciens amants, ceux dont on disposait pour terminer nos nuit… Ted et Freddy, sont deux blacks magnifiques qui à chaque réunion ont comblé nos désirs de masculinité, en toute gentillesse, confiance et performance…-Oui, mais…-Oui… mais…-Oui ?-A toi tout seul, tu viens de nous combler, nous emmener plus loin, nous transporter ailleurs, et même le jouet je le prenais parfois pour terminer nos nuits, ne remplace pas une bite bien active, la chaleur de ton corps, la candeur de tes bras… Tu nous rassures, ta virilité est surprenante, douce et à fois puissante, on se sent perforée, on jouit de partout, on a besoin de vivre ces émois différents, ces échappées sauvages, tu m’as émerveillée…-Moi de même, je suis exigeante en matière d’amant, j’ai trop été déçue par d’anciens partenaires, qui ne nous apportent rien, nous prennent comme des putains, machos et dédaigneux, car nous sommes lesbiennes et préférons les chattes aux bites démesurées de certains misogynes… La grosseur c’est certain apporte du plaisir, mais encore faut-il savoir bien s’en servir… Ted et Freddy sont des amis du groupe, viennent les protéger, lors de leurs réunions. Marie a eu une fois affaire à des malades venus mettre le bordel dans sa soirée privée… Tu les as remplacés haut la main, je ne regrette pas mon choix ce soir, j’aimerais te revoir…-C’est gentil tous vos compliments et j’en suis d’autant plus touché que je suis débutant…-L’âge ne fait rien à l’affaire, on aime ou on n’aime moins, la femme est un jardin qu’il faut bêcher sans cesse, parfois à plusieurs mains… Ses humeurs sont changeantes, ses besoins aussi. D’une couche lesbienne, j’ai besoin d’être prise, comme avec un mari. J’aime Karine et sa douceur, je jouis de la tienne, j’aime quand elle me suce et m’emporte au paradis, et je jouis encore après 4 ou 5 ans. Mais là c’est différent, de ta queue dans mon ventre et dans mon postérieur, tous les objets possibles n’ont pas cette présence, qui fait de nous des femmes et qui nous font jouir, comme ce soir j’en redemande, tu es un amant magique et inventif…Je leur explique ma situation, ma tante et ses copines, Marie en fait partie… Mon deal professionnel, ma région lyonnaise, loin d’ici, c’est dommage…-Elles ont des partenaires proches d’Annecy, fabricants de lotions d’esthétique, à base de plantes. Nous le savons car on fait partie du groupe, en tant que fournisseurs de produits féminins. Nous sillonnons la France, toute l’année, nous aimons les traboules, les bouchons, les quartiers St Jean, et Fourvière…-Ah, oui… Je vous donnerai mon portable, et je serais ravi de vous revoir très vite, vous avez de la classe, beaucoup de sensualité, merci encore pour vos compliments.g)RéunionJe tape à la porte réunion, ils sont nombreux…Marie, Gwen, Katia et Edwige, Ted et Freddy sans doute, Marc que j’ai vu à mon arrivée discutant avec elles, trentenaire, très beau. Et au fond, presque invisibles Solange et Véro, ma tante, en peignoirs également, souriantes de me voir… Jamie et Steeve, Jamie est à l’accueil, Steeve fait le service pour ce soir, c’est un ami de Ted, et copain de Jamie, il fait aussi quelques travaux à l’institut, sert d’assistant technique.La soirée reprend après ma présentation au groupe. Marie nous fait les honneurs de son institut, qui a 10 ans, une réussite, elle remercie chacune pour son dévouement, pour sa fille Katia qui a réussi ses examens, et gère l’ensemble de l’établissement, des relations clients et fournisseurs, de la comptabilité qu’elle traite à l’extérieur, leur assistante, Annie, n’a pu se libérer ce soir, ses responsables techniques, au nombre de trois, Edwige au maquillage et aux soins de la peau, Gwen aux médecines douces, à la balnéo, en bonne bretonne et de nouveau Katia qui va pouvoir s’immiscer dans les planning, car elle est capable de tous les actes de l’institut. Elle remercie Marc, venu leur prêter main forte cette année, -tout le monde sourit -, il s’occupe des soins masculins, spécifiques et a de plus en plus de demandes…Marie assure les relations financières le matin, la gestion des équipes, la DRH, même si le nombre d’employés est restreint, il y a 8 personnes à nourrir chaque mois… Elle parle aussi de leurs deux protecteurs détachés d’une société de protection, Ted et Freddy qui les assistent lors de leurs réunions mensuelles. Il y a également une secrétaire, Jamie, qui s’occupe du standard, filtre les appels, s’occupe de l’administratif sous l’égide de Marie et de Katia.Elles coupent un gâteau imposant, ouvrent le champagne, des fleurs sont arrivées, bouquets magnifiques pour Marie…-Voilà, je tenais à vous remercier d’être là et de progresser avec nous, de vous investir avec moi, de m’aider sans compter vos heures parfois. C’est un réel plaisir de compter sur chacune et chacun de vous, à vos postes, je suis fière de notre progression et je sais que c’est à vous que je la dois.-Merci maman, mais tu es une patronne exemplaire, nous donnant le meilleur pour notre clientèle qui nous le rend bien en nous restant fidèle depuis toutes ces années.-Katia, j’ai accédé à tes demandes depuis que tu es en âge de travailler. Tes études, tu as fait les mêmes que moi, que nous, ici… Tu t’es investie depuis 5 ans, voulant tout tester, passant dans tous les services, et même au-delà, les nouvelles techniques, nous proposant des choix… J’ai fait le tri, et avec l’ensemble de nos cadres, Gwen, Edwige, et maintenant Marc, nous avons décidé d’ouvrir un autre point d’accueil, un centre de soins marins, au bord de la mer. Je me suis faite aidée par des gens de mon entourage, pour divers travaux d’approche, surtout administratifs et bancaires… Je remercie Véro et Solange, qui ont bien voulu passer tu temps pour moi, reprendre contact avec leurs anciens partenaires et m’aider à monter ce projet.Marie K va se doubler d’un ensemble novateur, un centre d’esthétique et de soins, financé par nous, pour une petite partie, la mairie, la région, merci Solange qui a beaucoup donné, parcouru notre Région pour y arriver.Voilà la bonne nouvelle, le centre sera baptisé…Suspense…-Katia M.C’est toi qu’on a choisi, évidemment je serai là, mais tu prends les rênes au mois de Janvier, départ en mai… Tout sera prêt, les équipements sont commandés, ceux que tu as préconisés en font partie, les bains divers et variés… je sais que tu seras à la hauteur, la tâche est géante, mais nous seront plusieurs rapidement.Nous serons, et c’est rare, une première en France, en relation avec l’hôpital de Sète et celui de Montpellier qui ont une gestion commune, nous serons partenaires pour des soins palliatifs, remboursés par la sécu, et nous accueillerons pour ce faire, un médecin…Roulement de tambour…-Marc Durand…Et oui, il est docteur en titre, j’avais anticipé pour qu’il puisse s’intégrer et voir notre méthode, s’initier aux différents soins que l’on prodigue de façon paramédicale. Mon but c’est de légiférer notre profession, en particulier, les actes les plus lourds, frôlant le médical. Les techniques ont évolué, les matériels aussi, les besoins, les demandes, il faut faire le tri, revoir nos positions si l’on veut être crédibles auprès de nos partenairesTonnerre d’applaudissements, Marie est dans les bras de sa fille, elles pleurent toutes les deux, des flashes crépitent, un journal local a demandé une autorisation et va publier la nouvelle…A la fin, les gens de l’extérieur sont raccompagnés, la salle de réunion est fermée.Nous retournons dans la zone privée, le salon se remplit des convives internes, je vois Solange et Véro, en bonne compagnie, encadrées par Ted et Freddy qui montent dans les étages, suivis de Jamie et Steeve, la main dans la main…Marie s’approche de Marc, lui parle quelques instants…Elle s’approche de moi…-Tu as vu mes copines, Karine et Priscilla ?-Oui, nous étions ensemble juste avant…-Elles en ont de la chance… Toi aussi, car elles sont élitistes pour le choix de leurs amants…-Oui, mais elles ont apprécié, tu peux être rassurée, elles ont même pris mon tel pour quand elles passent à Lyon.-Ce n’est pas vrai ? Tu les as envoûtées ma parole… Tu es un baiseur de première, mais tu dois être à bout…-Un peu, oui j’ai eu du mal à terminer avec elles, mais elles le savaient, elles m’ont donné des produits pour me stimuler, ça a bien marché, mais on est restés deux heures…-Ah, oui… Une vraie hécatombe. Je ne sais pas si je viens demain, enfin tout à l’heure, marcher avec vous, je vais être nase… J’ai encore une demande… -Marc ?-Oui, je cherchais les deux gouines, comme c’est un bon baiseur, notre docteur vénéré, et qu’il aime les femmes…-Tu es avec lui ?-Pas encore… Mais ça ne saurait tarder… Il devient pressant et ma fois, il me plait bien aussi, il est intelligent, érudit, charmeur, ajoute nos prouesses au lit… Ca en fait un parti attrayant…-Ta fille et ses copines sont des déesses aussi, tu as déteint sur elles, leur a donné la sensualité, la passion du sexe, en toute liberté… J’ai passé des moments merveilleux…-Elles m’en ont parlé, je ne me suis pas étendue, ne voulant pas ébruiter nos exploits de l’autre soir… Mais tu les as bluffées, toi tout jeune et sans expérience, tu les as satisfaites… En quelques heures, trois jours, tu es devenu un artiste… Je vais essayer de venir demain, au moins vous rejoindre… J’ai envie de te revoir, plus que Marc si tu veux tout savoir…-C’est gentil, merci… Tu ne veux pas maintenant ?-Je me suis engagée avec Marc, il m’attend… Quand Katia m’a parlé, puis Edwige et puis Gwen… J’ai eu le cœur serré… Ca fait partie du jeu… Mais avec Karine et Prisca qui ne tarissent pas d’éloge et veulent garder contact… Rajoute Tante Véro et Solange en premier… Tu fais un sacré coup, pour tes premières maîtresses… Et si je t’emmenais ? Je n’ai pas dit que je serai seule… Je n’ai rien précisé, il n’a rien demandé… Si tu viens avec une autre, deux couples, 2 choix… Il aime les femmes comme moi, entre deux âges, il a 34 ans, 12 de moins que moi…-Ce n’est pas impossible…-Tu tiendras la distance, tu ne veux pas attendre, on a encore quelques jours, tu ne repars que samedi soir, non ?-Oui, tu sa raison… Va avec ton amant, je reste au salon, je vais me reposer, boire un verre ou deux, jusqu’à ce que Véro me cherche, à moins d’une occasion… -Coquin… Je regrette vraiment, j’ai très envie de toi. Tu m’ouvres l’appétit… Marc j’ai besoin de lui, il va sans doute me garder pour la nuit…-On peut prendre une chambre, tous les 2, juste quelques minutes, vas le voir et dis-lui que tu dois faire le point avec tes responsables…Elle me regarde, se lève, et prend son téléphone…-Allo, Marc, je serai en retard, je dois préparer un pique-nique pour demain, on va marcher avec mes copines, je dois tout préparer. Attends-moi, je ne serai pas longue, une demi-heure au plus, je dois aller chez elle, mettre dans son frigo… Si tu ne veux pas attendre, je ne t’en voudrai pas, dis-le moi si tu pars…-Voilà la solution, raccompagne-moi chez Véro, elle est ici, on ne risque rien, toi non plus… Je mets mes affaires dans un sac, elles sont au vestiaire…-J’ai bu, je dois faire gaffe…-Je conduis pour aller…-OK prends le volant…3 minutes plus tard, nous entrons dans ma chambre, et là c’est un festival…Ivre, nue, elle avait gardé son peignoir…Elle se rue sur moi, se jette sur mon sexe, c’est un feu d’artifices… Sa bouche va et vient, ses lèvres purpurines, me font un écrin, je me sens emporté par des anges divins…-Tiens, suce ces comprimés, je vais en prendre aussi, ça va nous exciter, n’en soit pas surpris…Oui, comme à l’institut, je sens un changement… Je n’ai plus de complexe, ni ne peur à avoir, j’ai bien 5 centimètres en plus qu’en entrant…Elle savoure ma pine, se démonte la chatte, en sautillant dessus, puis m’attirant par terre, se livre comme une furie… Elle me prend d’un seul coup, se fiche sur mon pieu, se fait jouir longtemps, ondulant de la croupe, sa chatte distendue, avalant ma biroute…Comme c’est délicieux…Elle termine en sursaut, elle vient de jouir, elle veut que je l’empale, allongée sur le sol, derrière relevé, chatte dégoulinante de son excitation…Qu’elle est bonne, qu’elle est tendre… Je la prends sans attendre, me fichant de nouveau dans son vagin béant…-Oh, oui, prends-moi encore la chatte, envoie-moi en enfer, j’ai besoin de vibrer, de sentir ton désir, d’être chevauchée, comme une jument en rut, par un bel étalon…Oui, je te sens 10 fois mieux dans cette position, mon vagin comprimé m’envoie des percussions… On dirait que tu me déchires, que tu me violes, je suis si resserrée, que j’en pleure de désir, que mon plaisir s’envole et que je vais jouir, plus fort que tout à l’heure… Vas-y, explose-moi la chatte, lime-moi comme un libéré de prison, une star du porno, je te sens et je viens, oui, je vais exploser….Elle reste sans bouger, la tête entre ses bras, elle cherche mes mains, qu’elle passe entre ses cuisses, elle est trempée, inondée, ravie…Elle se retourne, se love dans mes bras, m’embrasse avec tendresse, passe ses doigts dans les cheveux, je vibre de plaisir…-J’aime quand tu me baises… Tu es un phénomène… Pire que mes deux blacks, elles avaient raison…-Tu leur as demandé ?-Ce sont elles qui sont venues me dire, tu les as explosées, ravagé leur vallée, détruit leur clitoris, et même leur anus, elles n’ont pas pu sauver… Elles ont mis de la crème pour pouvoir continuer à se faire pénétrer…-Mon dieu, c’est la liqueur, elles m’ont donné à boire en me promettant une extase inédite, comme ton cachet, j’ai vu mon sexe enfler, s’allonger au possible, prendre 5 centimètres en quelques minutes, elles n’ont pas pu le mettre dans la bouche c’est la première fois que cela m’arrive, j’étais trop gros pour elles, elles ont dû le lécher, le minauder ensemble, Karine et Prisca étaient sur un nuage…-Mais ce n’est pas d’elles dont je te parle, c’est de ma fille Katia, d’Edwige et de Gwen, elles n’ont pas résisté, ont subit tes hommages, et ont dû se soigner…-Mais elles ont joui, comme des névrosées, emportées par leurs orgasmes, submergées, se donnant en spectacle, me prenant sans arrêt, revenant à la charge, s’empalant sur mon sexe, puis m’offrant leur derrière pour être sodomisées….Elle est décomposée…-Alors, viens, prends mon cul, fais-moi mal, tronche-moi sans complexe, fais de moi ton exclave… Lutines-moi à fond, traîne-moi, fourre-moi, explose ton compteur, je veux sentir ton dard, jusqu’à ce que je retombe, emportée par l’orgasme, vidée de ma substance, rendant grâce à ton sexe, gagnant de ce combat…Je prépare son anus, lèche délicatement, dépose de la salive, vais chercher de sa mouille, liqueur de jouissance, la répands à l’entrée, masse sans relâche, trempe un doigt dans la sauce, les chairs sont assouplies, elle grogne d’attendre, me supplie de venir et de la perforer…La chose est très facile, mon membre n’a pas bougé, resté au garde à vous, comme un bon associé…-Oh, oui… Je le sens arriver… Il est chaud, je suis ouverte, tu es doux quand tu masses mon intimité… Ca y est, il est positionné. Tu n’as plus qu’à pousser, alors viens, mon étui est ouvert, enfile ton épée dans mon fourreau offert… Oh, oui, je le sens entrer… Oh, que c’est délicieux, il pénètre sans peine, je suis si excitée, que mon cul est en fête, te trace une avenue, un boulevard que tu empruntes… Oui !…Cloue-moi sur le lit, sodomise-moi, fais de moi ta chienne, je veux garder de toi des images extrêmes, des instants jouissifs, gravés dans ma mémoire…. J’aime aussi être prise, debout, dans la cuisine, assise sur le plan de travail ou dans un hall d’immeuble, même dans la nature, appuyée à un arbre… J’aime aussi cette image, je suis repliée en deux, la tête dans mes bras, le cul offert, prise par mon amant, dont le dard me pénètre, plongeant, ouvrant, délirant ce fantasme, obscène position, si tentante et perverse… Viens ! Pousse, je te veux !…Le gland est avalé, je peux aller plus loin, pousser comme elle dit, je rentre plus profond, elle gémit, puis s’agite… Un souci ? Non, elle jouit…Prise de fièvre, tremblante, elle ondule son bassin, masturbe son vagin, ses doigts s’agitent, entrent, attisent son plaisir, apportent un complément, délivrent son attente, je pousse bien à fond, butant contre ses fesses, au fond de son rectum, et je me mets à la prendre, la faisant délirer, ses doigts la clitorisent, ouvrent la fleur de son sexe, deux grandes lèvres immenses et distendues, et elle continue, ils emplissent la grotte, jusqu’à son utérus, elle cherche son point G, déclenche la fontaine qui gicle son liquide en jets désordonnés, chauds et limpides, inondant les draps, coulant sur ses mains, me ratant de très peu, mais j’aurais aimé goûter ce suc intime, cette liqueur de femme…Epuisés, en sueur, nous restons enlacés… L’amour a ses secrets, elle fait partie des meilleurs…Sa montre la torture, elle se lève et revêt son peignoir….-Tu as été parfait, je garderai en image, ces moments d’exception, de plaisir partagé. Je n’ai pas envie de sortir de la chambre, j’aurais aimé passer le reste de la nuit, enlacée dans tes bras, caressée par tes mains, sentant encore ton sexe, à l’intérieur de moi…Penchée sur moi, son baiser est divin, mon sexe se relève, c’est un phénomène, cette femme est un délice, sa bouche brûlante entoure mon phallus, son peignoir s’est ouvert, ses seins sur ma poitrine, je la prends dans mes bras, elle ne peut résister, s’accroupit sur mon vit, elle se refait jouir, allant tout droit au but, en criant son plaisir…Baisers, tendresses, caresses dans mes cheveux, que je lui rends sans compter, la faisant frissonner, me griffant les épaules, fichée sur mon sexe, éblouissante amazone, qu’elle savoure encore, en jouant du bassin… Ma semence la baigne, elle en est inondée, elle exsude nos liqueurs, suce ses doigts imprégnés, me les donne à lécher, puis elle va en reprendre, au fond de son vagin, nos lèvres partageant, nos humeurs mêlées, suçant ses longs doigts aux ongles colorés, parfaitement manucurés…-Allo, Marc, on a un souci, je dois rester chez Véro. Excuse-moi pour l’attente inutile, j’aurais dû devancer ce problème, mais j’avais trop à faire et me suis bien gourée…Ca ne te fait rien ? Tu es un amour, je suis anéantie… On se téléphone demain soir. -Allo, ma chérie, c’est maman, je dois rester chez Véro, ça ne te dérange pas de fermer l’institut, un problème de dernière minute ? N’oublie pas l’alarme, fais-toi aider de Ted et de Freddy pour faire le tour avant de fermer, il ne faudrait pas oublier un invité à l’intérieur… Oh, merci tu es un ange, je suis éreintée, je t’embrasse…-Allo Véro, c’est moi Greg, je suis rentré par mes propres moyens, je dors dans ma chambre, à demain…Marie tu es un ange, tu mens pour me garder… Je t’aime à en crever, j’ai appris avec toi un summum de délices, des recettes nouvelles, des frissons merveilleux, des gestes indécents, et tu t’offrais encore, ou prenais sans vergogne, dans mon corps épuisé, de quoi jouir plus fort… Merci Marie…Les quelques heures jusqu’au matin furent intenses et magiques, alternant les repos et des ébats torrides, vous comprendrez chers lecteurs, que je les garde pour moi…

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