Histoire Africaine 05

Asian

Anne et Paul se sont mariés deux jours plus tôt, pour régulariser leur résidence dans le pays. Ils décident de visiter le pays voisin, en guise de voyage de noces.

Ils ont loué un chalet à proximité d’une réserve animalière, près d’une grande ville.

Ils ont choisi cette solution pratique de louer un petit chalet dans une banlieue tranquille.

Ils dorment tranquillement dans leur lit quand ils sont réveillés, vers deux heures du matin, par une troupe de quatre jeunes désœuvrés désireux de se faire un peu d’argent rapidement. Maintenus, ils sont rapidement immobilisés par des cordelettes.

Pieds et poings liés, attachés solidement aux quatre montants du lit, ils sont incapables de se défendre.

Deux des voyous, plus âgés, commencent à saccager l’intérieur du chalet, à la recherche de tout ce qui a de la valeur.

Les deux autres, semble-t-il un peu plus jeune, restent près du lit.

Les deux jeunes mariés dorment nus, le pubis imberbe d’Anne semble les intriguer.

Le jeune qui se trouve près de Paul remarque son sexe recroquevillé de peur, il lui donne une chiquenaude accompagnée d’un commentaire incompréhensible dans sa langue, ce qui fait rire les deux salopards.

Il recommence à plusieurs reprises, secouant du bout de l’index le zizi qui se ratatine de plus en plus, ils en hurlent de rire.

Le jeune voyou qui se trouve du côté d’Anne ne reste pas inactif. Il se caresse le sexe par-dessus son pantalon d’une main, il laisse l’autre main errer sur le corps nu et offert à sa convoitise de l’épousée.

Du bout des doigts, il caresse l’air absent, le mamelon gonflé, la gorge diaphane, les lèvres pulpeuses, puis se décide à empaumer et à palper le sein ferme et arrogant. Elle se tortille, impuissante à échapper à la main baladeuse, qui caresse son ventre et descend encore. La main atteint le pubis, ses doigts jouent avec le clitoris, une étrange langueur s’empare d’Anne.

Brusquement, l’index fouineur s’immisce dans sa grotte, ça lui arrache un cri de surprise et de douleur mélangé. N’ayant pas été suffisamment préparée, elle est sèche, l’introduction brutale du doigt a été douloureuse autant qu’inattendue. Hors le gars a de la suite dans les idées, il s’acharne à lui doigter la chatte sous les commentaires probablement salaces de son copain qui secoue la bite de Paul. Anne ne reste pas insensible au traitement infligé, sa respiration s’accélère nettement pendant que sa grotte s’humidifie.

Le jeune agresseur retire son doigt pour le porter à son nez, le sentir, puis à sa bouche pour le sucer. Il émet un commentaire à l’attention de son pote, mais celui-ci ne l’écoute plus, inquiet par le calme revenu à l’intérieur du bungalow. Il s’absente pour rejoindre les deux autres qui cherchent un butin dans le logement.

Le jeune restant détache un des pieds d’Anne pour approfondir l’exploration de sa petite chatte blanche.

Il s’est installé sur le matelas, entre les jambes écartées de la femme sans défense, alors que son mari est allongé à côté d’elle.

Le voyou sourit en caressant le corps nu et sans défense de la mariée, pendant que son mari, à côté d’elle se tortille et gronde en redoutant ce qui va se passer.

Sa femme est offerte, allongée nue sur le dos, jambes écartées, ce qui l’inquiète le plus c’est qu’elle subisse cet homme devant lui, impuissant à la défendre.

Il est hors de question que ce malfaiteur rentre son bâton de chocolat dans son vagin et l’imprègne de sa semence.

Elle espère que le maigre butin, qu’ils trouveront dans le chalet, autant que le désir de fuir au plus vite le lieu de leur forfait, lui permettra d’échapper à la concupiscence de ce voyou, qu’il se contentera de quelques attouchements.

Même si cela la fait enrager de perdre l’argent du voyage et ses bijoux, elle préfère cela plutôt que de subir cet homme, qui se penche sur elle pour lui téter les seins.

De nouveau, il insère deux doigts dans sa grotte qui s’humidifie, le pouce presse son clitoris, sa bouche mâchonne ses tétons qui se dressent.

De nouveau, sa respiration se fait difficile, son mari à côté d’elle l’exhorte à résister à son agresseur.

Elle pense bravement qu’elle ne veut pas devenir une statistique du taux de criminalité dans ce pays frontalier au leur.

– Plutôt mourir que de céder à ses avances! L’encourage son Paul.

Mais déjà son tourmenteur se relève, dégrafe son pantalon et l’ôte. Il doit penser qu’il l’a suffisamment préparée, qu’elle est désormais prête à l’accueillir, mais quand elle découvre l’énormité qui pend entre ses cuisses, ses yeux s’agrandissent de terreur, le souffle lui manque.

Elle pense qu’un engin pareil ne peut pas exister, surtout que ça ne pourra jamais entrer dans son puits d’amour. Paul n’a pas un jouet d’enfant entre ses jambes, cependant comparer à ça, elle va le sentir passer.

Paul est au désespoir, il murmure ( Non, pas ça, vous allez la tuer)

Le jeune gars, plein de vigueur, s’installe à nouveau entre les jambes de la mariée, défiant d’un bursa escort sourire le marié, il le dévisage d’un air goguenard. Il lui dit quelque chose dans son dialecte, il présente son infernal engin aux portes du paradis.

Il semble que l’agresseur est plus intéressé par la réaction du mari que par celle de la femme. Il continue de le dévisager en souriant au lieu de s’occuper de la femme qu’il compte fertiliser.

Bien que sa bite ne soit pas totalement rigide, cela ne semble pas le préoccuper, il saisit fermement le manche de son outil, il commence à pousser pour franchir le barrage des lèvres de la moule qui tentent de lui résister.

Anne souffle fort, résiste les yeux fermés, encouragée par Paul, peine perdue, d’un coup de rein puissant, le mécréant enterre d’un seul coup la moitié de son membre dans la chatte blanche.

Anne pousse un hurlement de douleur, c’est le moment que choisit l’autre jeune salopard pour faire sa réapparition dans la chambre, en gueulant comme un putois.

Apparemment, les deux autres, plus expérimentés, à la vue du maigre butin, ont préféré prendre la fuite en laissant en plan les deux jeunes imbéciles. S’ensuit une discussion, brève, mais animée, entre les deux agresseurs, c’est semble-t-il celui qui chevauche la femme qui a le dernier mot. vraisemblablement, il a réussi à convaincre l’autre de se payer sur la bête, c’est à dire de baiser la femme blanche avant de foutre le camp.

Il commence à baiser sa victime, s’enterre de plus en profond dans la chatte, épiant ses réactions.

Au début, c’est douloureux, puis petit à petit, la nature fait son œuvre, la grotte s’est humidifiée, le souffle de la femme s’est intensifié, apportant quelques gémissements qui ne sont pas causés par la douleur.

Son membre est tellement différent de celui du mari, tellement plus long, tellement plus gros. En plus celui-là ne porte pas de préservatif lubrifié, le contact sur les parois du vagin est totalement différent.

Quand cette énorme queue coulisse entre ses chairs, le contact peau contre peau envoi des petites décharges électriques dans ses terminaisons nerveuses, Anne replie sans pudeur sa jambe libre pour faciliter la pénétration.

Elle tourne la tête pour voir si Paul s’aperçoit de son abandon, mais le pauvre homme a bien d’autres chats à fouetter.

Le deuxième voyou a ,lui aussi, ôté son pantalon, il se masturbe tranquillement sous le nez de Paul, très près de sa bouche, il se tortille, inquiet, se demande si ce type n’est pas homosexuel.

Tranquille de ce côté-là, elle s’installe aussi confortablement que possible en essayant de tirer profit de l’assaut qu’elle subit. Le gaillard la baise fort, il est grand et vigoureux, le lit tremble sous ses coups de reins puissants, les gémissements de la femme se mêlent aux grincements du sommier.

À côté, Paul, que le second bandit a laissé tranquille, se met à bander en entendant Anne céder à la convoitise.

Elle aimerait tendre sa main pour branler son mari, la lui sucer pour lui signifier son amour, qu’elle l’aime, malgré qu’elle apprécie beaucoup ce que ce salopard lui fait subir.

Hors elle ne peut pas, ses mains sont attachées au-dessus de sa tête.

Par contre, le sexe de son baiseur commence à produire son effet, alors elle lève haut sa jambe libre, posant son pied sur les fesses de l’homme pour l’encourager à plus de rudesse, en oscillant du bassin pour accentuer les coups qu’elle reçoit.

Oh, oui, c’est mieux. Bien mieux même, en accélérant sa cadence, il peut mieux la pénétrer, pour elle aussi, c’est meilleur, car à présent sa chatte en ébullition est sollicitée sur toute sa profondeur.

Paul ne peut que constater les dégâts qu’il a occasionnés en partageant Anne avec ses amis, à présent, elle se fait prendre sous ses yeux, baisée par un jeune africain au sexe disproportionné, sans qu’il puisse y participer.

Elle devient vraiment bruyante maintenant, ses gémissements couvrent les grincements du sommier parce que le jeune étalon la baise si fort et si profond que le mari pense qu’elle aime être violée.

La vérité est plus complexe. Sa femme a cessé de s’inquiéter de ce que pense son mari, l’esprit totalement accaparé par les nouvelles sensations que lui procure cette bite surdimensionnée qui la prend à cru. Elle apprécie le moment, pensant pouvoir lui expliquer plus tard qu’elle a simulé pour abréger l’agression.

Alors que se forme dans ses reins une houle annonciatrice d’un orgasme ravageur, l’homme noir commence à ralentir, sa queue se tend encore plus, elle crache ses jets de sperme fécond au fond de l’utérus fertile de l’épousée.

Elle est à la fois inquiète d’être imprégnée, en même temps frustrée de ne pas avoir eu le temps d’exulter.

Si cet imbécile avait pris son temps pour la préparer correctement au début, elle aurait probablement eu la possibilité d’éprouver une jouissance plus forte là, c’est le fiasco complet.

Pourtant, elle peut le sentir palpiter encore en elle, tellement présent qu’elle essaie bursa escort bayan de redémarrer la machine en ondulant des hanches, en frottant son ventre contre le sien, en utilisant son périnée comme une pompe aspirante pour tenter de l’aspirer.

Impressionné par le désir qu’exprime ouvertement la femme blanche, il reste en elle un peu plus longtemps, comme s’il comptait la baiser deux fois de suite.

Il bouge ses hanches, cependant son braquemart mollit, maintenant qu’il s’est vidé les bourses, il prend conscience du danger qu’il y a à trop traîner sur les lieux de son forfait.

Même avec sa bite en débandade, il reste beaucoup plus envahissant que ne l’ont été les autres partenaires que Paul lui a fait connaître.

Pendant qu’il se retire d’elle, l’autre homme se présente déjà, la bite à la main, prête à servir. Ils se parlent dans leur dialecte, ils rient. Impossible de savoir de qui ou de quoi ils se moquent, car leur regard va de la chatte exposée et dégoulinante de foutre d’Anne, à la queue en érection de Paul, dépité et jaloux, de ne pas pouvoir participer.

Le deuxième vaurien détache la seconde jambe de la mariée avant de s’installer entre ses cuisses ouvertes. Il a parfaitement assimilé le manège de la blanche si coopérative, il pense qu’il s’amusera davantage en la libérant un peu.

Le premier homme s’installe sur le pas de la porte pour surveiller les alentours en cas de danger, il ne quitte presque pas des yeux son pote en train de se mettre en position pour baiser la femme blanche. Son regard envieux en dit long sur son désir de remettre le couvert, de baiser encore une fois cette petite salope blanche si bandante.

Le deuxième est équipé d’un sexe encore plus monstrueux que le premier. Pas plus long, mais encore plus épais. Aussi gros que l’avant-bras d’Anne, dira-t-elle plus tard à la police qui l’interrogera.

Paul voit l’impressionnant gourdin se balancer à l’horizontale, il murmure : – Mon Dieu, il va l’esquinter avec ça.

En sentant le gland turgescent se présenter à l’orée de sa grotte gonflée de désir, Anne replie ses jambes en les écartant aux maximums pour faciliter l’introduction. Contrairement à ce qui s’est passé pour le premier, elle n’a plus aucun désir de résistance, elle ne veut que prolonger les sensations que lui procure un gros braquemart noir en train de lui ramoner sa chatte de blanche.

Il prend son temps, dévisageant d’un air narquois le Paul, juste à côté, qui regarde la chatte de sa femme se faire distendre par un énorme braquemart noir.

Le pauvre Paul referme ses yeux pleins d’amertumes, lorsqu’il entend sa femme gémir et haleter pendant l’introduction du mandrin dans sa grotte d’amour.

Heureusement que le passage du premier baiseur a laissé beaucoup de lubrifiant et de mouille mêlée, parce que le deuxième est encore plus gros, peut-être même à la limite du supportable.

Bien évidemment, plus épais, elle est consciente de chaque sensation que cette bite lui procure. Tellement serré dans l’étroit conduit, il draine les parois de la vulve derrière lui.

Il met beaucoup d’énergie pour fouiller la femme haletante, gémissante, geignante sous la force de ses coups profonds.

Il est en train de lui couper le souffle, Paul convaincu qu’elle apprécie, qu’elle se donne, bande plus durement sans pouvoir se branler.

On peut supposer que le fait d’avoir entouré les reins de son baiseur avec ses jambes et d’onduler du bassin comme elle le fait, donne un indice à Paul sur ce qu’elle peut ressentir.

Pour être honnête, encore une fois, elle a oublié la présence de son mari à ses côtés, elle se concentre sur les émotions que lui procure ce jeune étalon plein de vigueur. Elle espère seulement que celui-ci durera assez longtemps pour pouvoir jouir enfin.

Ça y est, ça arrive. Une lame de fond, si dure, tellement intense. Quelque chose qui balaye tout sur son passage. Elle ne peut retenir son cri de joie. Elle bloque le mouvement de va-et-vient de l’homme allongé sur elle. Elle le retient au fond de son puits d’amour, frissonnante de plaisir. Son baiseur relève la tête pour la dévisager, il sourit, puis pose sa bouche sur la sienne. Ils échangent un long baiser passionné, un baiser d’amour.

Impossible maintenant de convaincre Paul qu’elle a simulé. Il sait. Elle a éprouvé une jouissance, une intense jouissance dans les bras de cet homme noir.

Mieux encore, ils recommencent. Leurs bouches soudées dans un long et profond baiser à quelques centimètres de ses yeux de Paul, le couple adultère recommence les ondulations du bassin pour se donner encore plus de plaisir.

Il est possible que ce soit l’orgasme de la femme, ou ce baiser langoureux qu’ils échangent, ou même la bandaison de Paul, ou l’ensemble des trois, le jeune noir ne peut pas se contenir.

Il entame une ascension irréversible. Après plusieurs coups de rein saccadés, durs et profonds, chacun fait grogner la femme, il se libère dans le conduit étroit et fertile d’Anne.

Tellement énergique, tellement escort bursa abondant, tellement érotique. Quelques coups supplémentaires, elle aurait joui une seconde fois.

Alors, frustrée, elle frotte son clitoris contre le pubis du jeune homme. Surpris, il recommence à pomper, sa queue est encore assez raide pour l’émouvoir. Il se penche sur elle en lui tendant sa langue qu’elle se met aussitôt à sucer amoureusement.

Il n’est pas redevenu vraiment dur. Le moment est passé. Pas de sentiment. Il a baisé la femme blanche. Elle a joui. Très bien. Mais pas de romantisme, il n’est pas là pour ça. En plus, les trépidations de son pote, sur le pas de la porte, lui rappellent que c’est dangereux de traîner ici.

Quand il sort de la chatte blanche, il y a beaucoup de dégâts sur le drap. Cette salope garde ses jambes grandes ouvertes. Sa chatte aussi est grande ouverte. Le sperme dégueule à gros bouillon. Elle l’invite à revenir, à la baiser encore, elle en veut plus de la bite noire.

Elle a aimé la grosseur, la puissance, les sensations, elle est marquée. Quand une femme blanche goûte à la grosse bite noire, elle ne peut plus s’en passer.

Elle le regarde ranger sa bite dans son pantalon, lui, il surveille son regard. Il sait. Il sourit en voyant son regard de dépit quand la grosse bite disparaît de sa vue.

Puis avec un sourire au mari, il saisit les clés du véhicule de location, il est sort en riant.

Anne se demande pourquoi il rit en regardant son mari.

Elle reste allongée, les jambes écartées, la chatte ouverte, dégueulant des flots de sperme.

Au bout de quelques minutes, certaine que le calme qui règne indique que la troupe est partie, elle referme ses jambes, elle se soulève pour regarder son mari. Il la regarde avec un air de tristesse.

Alors, elle voit, à côté de la queue débandée de Paul, une tache de sperme qui s’étale sur son ventre et qui coule le long de sa hanche, tachant le drap. Voilà ce qui a amusé le jeune noir et l’a fait rire. Voir sa femme se faire baiser par de jeunes noirs lui a procuré une jouissance. Sans les mains, sans rien, juste de la voir prise comme une salope, il a joui!

Sa belle verge toute ratatinée a joui de voir sa femme prise par d’autres sous ses yeux.

Pour cette fois, pas de reproche. Je me suis fait baiser, j’ai bien joui, merci et toi aussi. Pendant qu’elle le regarde, sa queue semble se redresser, il ne croise pas son regard.

À force de gigoter, elle réussit à défaire ses liens, elle se dirige vers la porte pour se renseigner.

Un flot de sperme commence à couler hors d’elle, elle doit placer sa main dessous pour le contenir.

– Oui, ils sont partis.

Anne revient délivrer son mari, puis elle se dirige vers la salle de bain pour se nettoyer.

Paul lui crie :

– Tu ne peux pas te nettoyer. La police aura besoin de preuves?

Elle sait de quelle preuve il parle. Le sperme de ces deux hommes noirs qui l’ont baisée. Qui ont éjaculé au plus profond de sa chatte de blanche. Le sperme qui peut la mettre enceinte.

Aucun doute possible, si elle tombe enceinte, c’est pour avoir un bébé métis. Est-ce que le Paul veut qu’elle soit enceinte?

Elle chasse cette idée loufoque, elle, crie à son mari :

– Alors, appelle la police!

Elle ne veut pas que quiconque sache, elle ne souhaite pas avoir à raconter, à subir les regards, elle regrette la perte des bijoux et de l’argent, c’est tout. Elle désire qu’on la laisse tranquille.

Peut-être à cause des bijoux et de l’argent, Paul appelle la police. Il ne se soucie pas de la dignité ou de la honte. La différence, c’est qu’il n’est pas l’instigateur de cette baise et qu’il n’a pas pu participer comme à l’habitude.

Elle ne sait pas quoi faire de tout ce que les violeurs ont laissé en elle.

Son mari ne veut pas qu’elle se vidange dans une coupelle et prenne un bain. Elle se sent sale, alors elle va s’étendre à plat dos sur le lit.

Ainsi, s’ils veulent un échantillon de sperme, qu’ils se servent?

Heureusement, Paul a parlé de viol au téléphone, une policière est arrivée avec un kit de protection pour le viol.

Elle est entrée dans la chambre escortée d’un jeune gars qui a écarquillé les yeux quand il a vu Anne allongée nue, les jambes écartées.

Bien qu’elle soit jeune, la policière savait exactement quoi faire. D’abord parler. Posant sa mallette au sol, elle s’assoit au bord du lit. Elle se tourne vers le jeune policier, qui mate la femme nue.

– Vous pouvez aider les autres policiers à dresser l’inventaire avec le mari de tous les objets volés. Je peux gérer ici.

Lorsque le policier est sorti, elle saisit la main de la femme : – Salut. Je suis l’officier Guafanaho. Ce corps en sueur et cette chatte trempée et collante m’indique que vous revenez de l’enfer?

Anne est soulagée d’avoir affaire à une femme compréhensive : – Je vais bien, je n’en suis pas morte. Je m’en remettrai, je suis solide, vous savez.

– Combien y avait-il d’hommes? Combien d’entre eux sont venus sur vous?

– Deux.

– Seulement deux? Votre mari a dit qu’il y avait quatre hommes?

– Oui, mais deux uniquement m’ont réellement baisé. Les deux plus âgés nous ont volé, les deux plus jeunes m’ont violée.

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