L’Apprentie – Acte Trois

Panties

L’Apprentie – Acte TroisAu matin, je me lève, encore troublée par ce que j’ai vécu hier soir. Comment ai-je pu accepter d’être baisée par des inconnus ? Cela ne me ressemble pas. Mais alors que je sors de ma douche et que je me vois nue dans le miroir, je ne peux résister à l’envie de me caresser. Aussitôt, devant le miroir, mes doigts trouvent le chemin de mon entrecuisse, je joue avec mon clitoris, je glisse un doigt entre mes lèvres et me pénètre. Je frissonne et gémis. Je fais aller et venir mon doigt, je me fais jouir sans aucune retenue. Je me sens libre.Je sors de la salle de bain pour aller m’habiller. Il me semble naturel de ne pas mettre de culotte sous ma jupe, par contre j’enfile un soutien-gorge. Aujourd’hui, je travaille dans le centre de rééducation fonctionnelle. Devant les collègues, je me dois d’être présentable.J’aime venir ici, cela me change du cabinet et du travail en solitaire. Je peux échanger des idées avec d’autres professionnels de la rééducation, cela me fait du bien. Je m’attends à chaque instant à recevoir un message, mais rien, même à midi.Quand je repends ma voiture le soir, je me demande si Mademoiselle m’attendra à la maison ou si elle me rejoindra plus tard dans la soirée, je l’espère.Mais la soirée se passe sans visite et sans message. Je m’interroge — Que suis-je ? Pourquoi ai-je maintenant envie de sexe aussi souvent ? Que m’ont-ils fait ? Qu’ont-ils fait de moi ?Je finis par m’endormir après avoir longuement tourné dans mon lit, allumer plusieurs fois pour lire. Au milieu de la nuit, je n’en peux plus.— Putain, j’ai envie qu’on me baise… bordel !Assise en tailleur sur le lit, nue sous ma chemise de nuit, je vois le gode, le plug et le collier sur la table de nuit. Je frissonne.Je me rappelle la sensation du collier et de la laisse qui pend entre mes seins, il y a seulement deux jours, avec mademoiselle. J’enfile le collier et j’attache la laisse, j’aime la froideur du métal entre mes seins. Je commence à réaliser que je suis faite pour être tenue en laisse. Je frémis.Puis, je prends le gode et commence à le sucer. Rapidement, je sens des papillons dans mon ventre, je suce Escort l’objet, je le pompe comme une furie. Je bave et mes gémissements remplissent ma chambre. De ma main libre, je me fouille la chatte. Ma fente dégouline.Je n’attends plus et d’un geste violent, je rentre le gode dans mon con, profondément. Enfin, je suis prise. Je le fais aller et venir en moi. Je me donne du plaisir. Je peux me masturber sans honte.Avec un rythme effréné, j’atteins une puis deux puis trois fois le septième ciel. Je retombe épuisée et repue sur le matelas. Je suis en sueur, assoiffée de plaisir, le matelas maculé de mon plaisir. Mais, j’en veux encore.Je glisse le gode dans ma chatte et enfile une culotte pour qu’il y reste. J’essaye de me rendormir. Ma chatte joue avec le gode. Le gode joue avec ma chatte. Je me dandine, frotte mon corps contre le matelas. Mes seins réclament. Je me les caresse. Je jette la couette au bout du lit, trop encombrante. Je m’étale sur le dos, bras et jambes écartés. Je caresse ma poitrine, la malaxe avec force. Le gode est toujours figé dans ma chatte.Je jouis une dernière fois avant de m’endormir.Quand mon réveil sonne, j’ouvre les yeux, je suis au radar. Je me lève et prends ma douche à moitié endormie.J’enfile une jupe et un chemisier. Je décide de ne rien mettre sous la jupe, mais j’enfile un soutien-gorge de dentelle blanche. Au cabinet, je ne peux pas me permettre d’avoir ma poitrine libre qui ballotterait au gré de ses envies quand je me déplace. Je suis prête à partir.Mais en passant, devant le miroir de l’entrée, je découvre mes cernes, liés à ma nuit agitée. Je tente alors, de les masquer du mieux possible avec du maquillage.Je me regarde à nouveau dans le miroir, et cette fois-ci, c’est une femme ravissante et attirante qui va sortir de la maison. Je n’oublie pas de mettre le pendentif que Mademoiselle m’a offert.La matinée se déroule sans incident notable, mais toujours pas de messages. Je me demande pourquoi. En arrivant dans le restaurant pour déjeuner, je m’installe en retroussant ma robe, assise sur mes fesses nues. Mais, Monsieur ne m’envoie toujours aucun texto.Je déguste Escort Bayan mon plat de nouilles sautées aux crevettes et je laisse mon corps s’ouvrir. Personne ne semble faire attention à moi. Peu importe, mon corps réclame la lumière et le vent. J’apprécie de n’être pas interrompue. Avant de recommencer, je passe aux toilettes et je me caresse, comme je l’avais fait trois jours plus tôt.Je jouis dans les toilettes et en sortant, je réalise que mon premier patient de l’après-midi est là avec sa mère. Je la salue, je vois à son regard sur moi qu’elle cherche un indice des gémissements qu’elle a entendus derrière la porte close. Au regard qu’elle me fait, je comprends qu’elle sait ce qui s’est passé dans les toilettes.Mais sans réagir, je demande à l’enfant de me suivre. La séance se passe avec concentration sur les troubles de l’enfant. Il sort. Sa maman l’embrasse avec affection. Elle est ravie de mon travail et elle me paye avec un sourire coquin.— Joli pendentif, madame. Au revoir ! me dit-elle avec un sourire plein de tendresse.—Merci ! À bientôt !Qu’est-ce que cette femme a compris en voyant mon pendentif ? Comment l’a-t-elle interprété ? Autant de questions sans réponses.Quand j’arrive à la maison, toujours sans aucune nouvelle, je me jette sur le canapé. Mon corps a besoin que je m’occupe de lui. Il me le réclame. Avec fébrilité, je me déshabille, je gardant que mon collier. Puis je sors le soc de mon sac à main et les cuisses ouvertes sur le canapé, face à la porte-fenêtre.Je le glisse dans ma chatte trempée et je me pénètre à fond avec je le fais aller et venir ne moi. Je coule, je gémis, je jouis.J’aime ça et je me prends en photo, ouverte, offerte, exhibée.J’envoie cette photo à Monsieur, mais je ne reçois aucune réponse.Je sais que Monsieur me désire et que j’ai donné du plaisir à Mademoiselle. Je me ressaisis, je veux encore jouir par tous les pores de ma peau avec un vrai contact charnel.Cela fait deux jours que je n’ai plus de nouvelles.La journée du jeudi se passe, toujours sans messages. Comme les nuits précédentes, je les ai passées à me caresser et jouir. Mes cernes sont de Bayan Escort plus en plus visibles ce matin. Je me décide à mettre une jupe plus courte, mon soutien-gorge noir qui met si bien ma poitrine en valeur, pas de culotte et admire mon pendentif.Le midi, je retourne au chinois pour m’asseoir, jupe troussée, mes fesses rondes et nues visibles de tous Je me sens à l’aise, les fesses dénudées et avec mes baguettes. Je suis si bien dans ce restaurant que si c’était possible, je pourrais y manger nue.J’attends l’arrivée d’un SMS… mais rien … Je finis mon déjeuner.Quand je paye, la serveuse me sourit en voyant mon collier.Quand mon dernier client est parti, je pose mes pieds sur le bureau, face à la caméra de mon ordinateur.Je sors mon gode, je me masturbe tandis que ma poitrine rythme mes envies. Mes tétons sont dressés. Je prends du plaisir pour moi.Je finis par jouir, sans m’apercevoir que le voyant de ma caméra clignote.Je récupère et je rentre chez moi, espérant un message. Me posant des questions sur ce que je fais ? Pourquoi le fais ? Mademoiselle et Monsieur ne seraient-ils que des rêves ? Que des personnages issus de mon imagination ?Mon plaisir, ma jouissance sont bien réels. Et ce collier, je le sens autour de mon cou.Dans mon lit, nue, j’ai encore besoin de ce plaisir, je reprends le gode. Je me caresse avec, il est en moi. Je bave de plaisir, je gémis, je n’arrive pas à rassasier mon corps.Je finis par m’endormir épuisée.Au matin, de ce début de week-end, je reste nue sous ma robe. Pendant mes courses, je déambule dans les rayons du magasin, les fesses à l’air. Je sens mon jus couler le long de mes cuisses.Je souris aux regards dans ma direction, sur mes cuisses, ma poitrine. J’aime mes seins et je le montre. Leurs larges aréoles gonflées de désir, mes fesses fermes, je me sens enfin Femme.Je rentre, excitée. Je me mets nue et je range mes courses et fais mon ménage ainsi. J’aime me sentir libre sans entrave.Je passe mon week-end, nue à me faire jouir dès que mon corps le demande, à force de me pénétrer avec mes doigts, j’ai fini par y introduire la main jusqu’au poignet et j’en ai pris du plaisir.Mais je dois me reposer, demain lundi, une rude journée m’attend.Mon mari rentrera bientôt de son voyage et mes enfants de leurs vacances.Enfin à minuit moins une, un message libérateur de Mademoiselle : “je te souhaite une bonne nuit”.

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